229W0050.txt
Planche Elsenborn - 229W0050 - 5030050
E. Asselberghs - Août-septembre 1926
N°50 (III-VI)
Long talus le long du chemin de fer, longeant les parcelles 270, 271, 272 du Königl. Forst. Montjoie.
Partout débris quartzoschisteux. Au Nord, gros cailloux roulés. (figure)
En a:
Coude du talus, affleurement sur environ 150 mètres de longueur.
Bancs de grès décrivant un anticlinal ondulé, à ennoyage vers l'Est.
En b:
A 100 m au Nord du second coude, 2 à 3 mètres de grès, inclinant vers le Nord-Est.
Direction N36°W.
Inclinaison NE = au coude même du grès avec macules de phyllades bleus dans des phyllades bleus compacts à une direction N70°W, avec allure verticale ou 85°S.
A 50 m plus au Sud un banc de grès donne direction N87°S, inclinaison S75°.
En c:
Endroit le plus élevé du talus, sur 60 mètres de longueur affleurent du grès avec phyllades compacts.
Direction N72°W. Inclinaison S70° à vertical.
Au Sud sur 150 mètres ancore, les couches ont la même allure.
Ensuite débris de phyllades bleus et de grès du Taunusien.
G.Vandenven - 1975
N°50 (suite)
Chemin de fer de la Roer, entre le km 54 et la vallon du km 53/4,5
Epaisses couches de grès vert et intercalaires de schiste phylladeux vert.
Au km 54: st = N105°E/80°S , diaclases (parfois tapissées de quartz): N170°E/57°E
Du km 54 au km 53/9,25:prédominance des schistes phylladeux, clivage: N95°E/55°S
Au km 53/9,25: 2 couches de grès à pendage sud de 60 à 70°
Entre les km 53/7,25 et 53/6,00: long affleurement de phyllade; une zone de grès(ép.6,00 m) au km 53/7,20.
St.: N70°E/60°S au km 53/7,00
N25°E/40°SE au km 53/6,90
N50°E/20°SE au km 53/6,75
N170°E/45°E au km 53/6,70
N135°E/76°N au km 53/6,60
N0°E/32°E au km 53/6,00: ancienne ballastière
puis N15°E/25°E(couches de grès à ripple-marks et phyllade).
Clivage: N53°E/53°S au km 53/7,00
N120°E/85°S au km 53/5,90
Entre les km 53/7,00 et 53/6,70 se dessine une allure anticlinale sensiblement axée NW-SE.
Plus au Nord, les couches paraissent amorcer une allure synclinale.
Le clivage mesuré est un clivage de fracture,l'aspect des schistes semble démontrer la présence d'un clivage phylladeux parallèle à la stratification et plus ancien que le clivage de fracture.
