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153E0001.TXT

Feuille : 153 E - CHARLEROI - 468
secteur : 9
numéro : 1
code : 153 E0001 - 4680001
X :
Y :
Z :
commune :
auteur : M. MOURLO
références : Annales de la Société Géologique de Belgique, 92: 123-130.
date :
roche :
formation :
localisation :

nature : Affleurement

description :

1 (IX) - M. MOURLON - Mardi 29 août 1893.

Un peu au Sud de la station de Bouffioulx, grande carrière Guyaux avec des poches renfermant des grès lustrés arrondis avec parties altérées très fossilifères (fossiles landeniens).
D'autres poches renfermaient une matière verte glauconifère analogue aux deffes de l'Entre Sambre et Meuse.
Le jeudi 28 septembre 1893, j'observe contre la paroi méridionale de la carrière de la glauconie verte et noire très fossilifère et une matière blanche durcie craie glauconifère ressemblant à une pierre lithographique, adhérente à la roche de calcaire
carbonifère.

[figure 1]

Je constate que les roches fossilifères proviennent bien du banc de grès dit landenien des poches.
Voir ma note 'Sur l'âge crétacé des grès mamelonnés de Bouffioulx rapportés au landenien supérieur'. Bull. des séances de la Soc. royale Malacologique de Belgique, t. XXII, 1893, séance du 7 octobre 1893.
M.J. Van Scherpenzeel-Thim signale dans le calcaire carbonifère de Bouffioulx l'existence de plusieurs fractures atteignant 0 m 15 à 0 m 20 d'ouverture et se dirigeant sensiblement N-S remplies de sable d'un vert foncé, passant au grès plus ou moins
bréchiforme.
Ces sables renferment des débris fossiles marins qui ne laissent aucun doute sur leur âge géologique et permettent de les rapporter à l'étage Cénomanien. Ce fait, qui démontre que la mer crétacée s'étendait jadis aux environs de Bouffioulx, lui a paru
assez intéressant pour être communiqué à la Société (Ann. Soc. géologique Belgique, t. VII, 1879-1880, p. XCVI).

1 - suite - M. MOURLON, Bulletin Séances de la Société royale malacologique de Belgique, XXVIII, 1893, pp. LIV-LVII.

Sur l'âge crétacé des grès mamelonnés de Bouffioulx
rapportés au Landenien supérieur

par Michel MOURLON

Le 29 août dernier, à l'issue de la dernière journée d'excursion de la session extraordinaire de la Société géologique de Belgique dans l'Entre-Sambre-et-Meuse, il a été découvert dans une grande carrière appartenant à MM. Guyaux frères et située un peu
au sud de la station de Bouffioulx, des fragments d'une roche altérée pétrie de fossiles.

Parmi ceux-ci, je constatai l'existence de coquilles marines et notre savant collègue M. Briart y reconnut une Térébratule du crétacé.

Cette découverte, bien que fort inattendue, ne faisait en réalité que confirmer celle faite treize ans auparavant par M. J. van Scherpenzeel-Thim. C'est ce qui résulte, en effet, d'une note succincte de cet ingénieur distingué, note pour ainsi dire
perdue, par l'absence de titre, dans les Annales de la Société géologique de Belgique (T. VIII, 1879-1880, p. XCVI) et sur laquelle un collègue obligeant voulut bien, depuis, attirer notre attention.

Seulement, on verra par ce qui va suivre, qu'à l'époque où parut cette note, la coupe de la grande carrière de Bouffioulx devait être différente de ce qu'elle est aujourd'hui, à moins que certains dépôts aient échappé à l'attention de l'auteur. Que
voit-on, en effet, à présent, dans la carrière ? C'est d'abord, contre sa paroi méridionale, de la glauconie verte et noire avec menus débris de fossiles et fragments anguleux de calcaire. Il y a aussi un peu de craie glauconifère durcie rappelant
parfois la pierre lithographique et adhérant fortement à la roche du calcaire carbonifère de la carrière, enfin, le tout présentant les plus grandes analogies avec la glauconie sénonienne de Lonzée (Cp. 2).

Plus au Nord dans la carrière apparaissent, en plusieurs endroits, de grandes poches remplies du'n grès mamelonné épais, qu'on exploite pour en faire des pavés.

Il semble que M. van Scherpenzeel-Thim n'ait pas observé cette dernière roche, car il ne signale dans le calcaire carbonifère de Bouffioulx que des fractures atteignant 15 à 20 centimètres d'ouverture et se dirigeant sensiblement nord-sud. Il ajoute
qu'elles sont remplies de sables d'un vert foncé, passant au grès plus ou moins bréchiforme. Enfin, ces sables, dit-il, renferment des débris de fossiles marins qui ne laissent aucun doute sur leur âge géologique et permettent de les rapporter à l'étage
cénomanien [Il est à remarquer que l'on rangeait alors dans cet étage, les couches herviennes qui constituent maintenant une des assises du Sénonien campanien (Cp. 2).].

Les fossiles recueillis par nous dans la carrière se trouvaient dans une roche jaunâtre à texture poreuse, renfermant quelques petits cailloux de quartz blancs et noirs et qui m'avait cependant bien paru, à première vue, être plutôt une altération des
grès à paver qu'une roche subsidiaire de la glauconie. Néanmoins, la chose méritait d'être vérifiée sur place et c'est ce qui me fit me rendre de nouveau à la carrière Guyaux le 28 septembre dernier. Je recueillis encore dans la carrière un grand
nombre de fragments de roches fossilifères et en m'approchant de la plus importante des poches renfermant les grès mamelonnés, je pus constater, non seulement sur des parties altérées de ces grès, mais aussi dans les parties les plus dures de la roche,
les mêmes fossiles que ceux des fragments épars dans la carrière. Dès lors, le doute n'était plus possible et je me trouvais en mesure d'affirmer l'âge crétacé des grès à paver de la carrière.

Parmi ces fossiles susceptibles de détermination, j'ai cru reconnaître certaines espèces décrites par Fred.-Adolphe Roemer dans son ouvrage intitulé : Die Versteinerungen des Norddeutschen Kreidegebirges, 1840. C'est d'abord la Crassatella arcacea ?
Fred. Roem., pl. IX, fig. 24, de l'"oberer Kredemergel bei Quedlinburg und Dülmen", puis la Pinna fenestrata ? (non canaliculata), Fred. Roem., pl. VIII, fig. 22, de l'"unterer Kreidemergel bei Osterfeld in Westphalen", et enfin la Terebratula biplicata,
Sow., p. 43, pl. VII, fig. 17, du "Quader und Grünsand in England".

C'est de cette dernière espèce que se rapprochent le plus des plus beaux spécimens de Térébratules de différentes tailles, avec leurs valves réunies, que j'ai recueillis moi-même dans la carrière et dont le nombre s'élève à plusieurs centaines, si l'on
tient compte de ceux qui se trouvent pressés les uns contre les autres dans les blocs de grès mamelonnés qu'a bien voulu me faire parvenir l'un des propriétaires de la carrière, M. Gustave Guyaux, bourgmestre de Bouffioulx.

En comparant la Térébratule, si abondante à Bouffioulx, avec des espèces du même genre des collections du Musée, j'ai pu me convaincre qu'elle n'a aucun rapport avec celle du Landenien de Chercq, près de Tournai, renseignée sous le nom de Terebratula
Pireti, Vincent.
Il en est de même pour la T. depressa et la T. obesa du Tourtia de Tournai et de Montignies-sur-Roc, et quant à la Terébratula d'Autrepe rapporté à la T. biplicata, elle diffère de celle de Soworby, à laquelle j'assimilie mes spécimens, tant par sa forme
que par un plus grand écartement des plis.
Enfin, je puis encore mentionner, dans les grès de Bouffioulx, outre des fragments de Cidaris et des dents de Lamna, l'Ostrea lateralisn Nilss, qui se trouve renseignée à tous les niveaux depuis le Tourtia de Mons jusqu'au Tuffeau de Maestricht
inclusivement.

Pour déterminer à quel niveau du crétacé doivent être rapportés les grès de Bouffioulx, nous n'avons donc jusqu'ici, en fait de fossiles, que la Terebratula biplicata, Sow., renseignée dans les listes de fossiles comme ne se trouvant que dans le Sénonien
proprement dit. Les grès en questions appartiennent donc à l'étage Sénonien campanien (Cp) et probablement à quelque partie de l'assise de Nouvelles (Cp.3). Je dois cependant faire remarquer, pour ne rien omettre de ce qui peut jeter quelque lumière
sur la question, que certains échantillons de roches qu'accompagnait l'envoi de fossiles de M. G. Guyaux, fournissent quelques indications qu'il ne m'a pas été donné de recueillir sur place.

Ces échantillons proviennent d'une poche de grès situé derrière les bâtiments de l'usine, à 80 mètres au Nord de celle qu'il m'a été donné d'observer.

Parmi eux se trouvaient un calcaire dur, noir, pour ainsi dire soudé au grès, et de même aussi un calcaire blanc tendre analogue à celui renseigné plus haut comme étant associé à la glauconie de Lonzée.

Ce fait semblerai venir confirmer jusqu'à un certain point, l'observation rappelée plus haut de M. van Scherpenzeel Thim, qui, sans faire aucune mention des grès mamelonnés à paver, parle, néanmoins, de "sables d'un vert foncé passant au grès plus ou
moins bréchiforme".

Toutefois, M. Rutot, qui a bien voulu, jeter un coup d'oeil sur mes échantillons de grès de Bouffioulx, a été frappé de leur analogie avec les grès sénoniens de Seron, qu'il a décrits, en collaboration avec M. Van den Broeck, et sous, lesquels ces
géologues ont reconnu la présence de dépôts qu'ils rapportent aux assises hervienne et aachénienne (Annales de la Société géologique de Belgique, t. XIII, 1885-1886, p. 71).

Il résulte donc de ce qui précède que le seul fait qui reste acquis, dès à présent, c'est que des grès crétacés sénoniens ont été confondus, non seulement avec les grès tertiaires de l'étage bruxellien, comme cela est reconnu pour les grès Séron, mais
aussi avec ceux de l'assise supérieure de l'étage landenien, comme cela paraît bien être le cas pour les grès de Bouffioulx que Dumont rapporte dans ses Mémoires (t. III, p. 217) au Landenien supérieur, en les renseignant comme ayant été exploités au
sud-ouest de cette localité et en rappelant leur grande analogie avec les grès blancs de Tirlemont.

M. Stainier insiste sur l'intérêt que présente la découverte de M. Mourlon. Il montre également que cette découverte va imposer encore plus de circonspection dans l'emploi du caractère minéralogique pour déterminer l'âge de certains grès de
l'Entre-Sambre-et-Meuse. Il rappelle à cette occasion les confusions que l'on a établies entre certains grès en se basant sur leur caractère minéralogique. On a rapporté au Landénien, les grès bruxelliens de Fayat et les grès tongriens des environs de
Namur et de Liège, on a rapporté au Bruxellien les grès crétacés de Séron.

Voir aussi : Annales de la Société Royale de Malacologique de Belgique, t. XXIX, pp. IV-VIII, procès-verbal de la séance du 6 janvier 1894, la communication de M. l'Abbé H. de Dorlodot sur "Les grès fossilifères de Bouffioulx" avec réplique de M.
Mourlon.

1 - suite - E. VINCENT, Annales de la Société royale malacologique de Belgique, 1894, XXIX: XLV-XLVIII.

L'âge du grès fossilifère de Bouffioulx

par E. Vincent

On se rappelle la discussion qui s'est élevée récemment au sein de la Société au sujet de certains grès observés l'année dernière, lors de l'excursion de la Société géologique de Liège, dans la carirère de MM. Guyaux à Bouffioulx.

Notre savant confrère, M. Mourlon, présent à cette excursion, nous a décrit ces grès, qui remplissent, avec des sables jaunâtres, des fentes élargies par les eaux dans des calcaires primaires. Il rappela aussi les observations de M. l'ingénieur van
Scherpenzeel sur les sables glauconifères visibles dans la partie sud de la carrière. Des constations faites sur place et de l'examen des fossiles recueillis dans les grès, M. Mourlon conclut à l'âge nettement crétacé de la couche verte et des grès,
ceux-ci étant probablement un peu mons anciens que les sables verts.

Peu après, M. Dewalque annonça à la Société géologique de Liège que, d'après les fossiles, ces grès étaient bruxelliens.

D'autre part, M. de Dorlodot, tout en combattant la conclusion de M. Mourlon relative à l'âge des grès, contesta l'exactitude de l'affirmation de ce géologue, que les grès mamelonnés de la carrière Guyaux sont les mêmes que ceux que Dumont et M. Briart
ont rapportés au landenien supérieur.

Comme la question pouvait nous intéresser particulièrement, nous nous sommes rendus à Bouffioulx en compagnie de M. Van der Bruggen, et, grâce à l'extrême obligeance de MM. Guyaux, nous avons pu nous livrer à notre aise à l'xamend des couches et à la
recherche des fossiles.

La roche verte est confiée à l'extrémité méridionale de la carrière. Elle remplit une fente verticale de quelques centimètres d'ouverture coupant un massif de calcaire non stratifié. Nous n'avons pas revu subordonnée à la glauconie, la craie durcie
rappelant le calcaire lithographique, signalée par M. Mourlon, à moins que ce ne soit cette roche blanche, se délitant facilement sous l'influence des agents atmosphériques, dont on trouve de nombreux blocs sur un tas de sable glauconieux. Si c'était là
la craie durcie subsidiaire de la glauconie dont parle notre collègue, nous ne pourrions partager sa manière de voir ; car cette roche provient d'une veine qui recoupe, sous un angle, très ouvert, la fente comblée par la glauconie, et en est, par
conséquent, bien indépendante.

Quoiqu'il en soit, après quelques moments de recherche dans les blocs glauconifères remplis de menus débris de coquilles, nous n'avons pas tardé à découvrir des anomies, des petits huîtres bombées, plusieurs Ostrea lateralis, un jeune Alectryonia du
groupe de O. carinata, un certain nombre de valves plates de Janira, des petits peignes à lamelles concentriques rappelant P. orbicularis, d'Orb., un moule indéterminable d'une lime de petite taille, des débris d'inocérame ?, une rhynchonelle, des
serpules et une espèce de bryozoaire branchu, mais pas une trace des térébratules signalées dans les grès mammelonnés.

Ces dernières sont plus riches ; mais, lors de notre visite, il n'en restait guère de bons. Néanmoins, nous en avons rapporté deux valves plates, d'Ostrea lateralis ou eversa ; une autre espèce d'huître, pus grande, lisse et crenelée, à droite et à
gauche de la fossette ligamentaire, deux échantillons de Pecten dont l'un représenté par une très belle empreinte, un fragment insignifiant de Pinna ; deux plicatules ; deux espèces d'arches ; des cucullées, un Leda ; des nucules, des débris de
Pectunculus ; un Cardiuim du volume du poing ; une autre espèce du même genre ressemblant à C. porulosum et une troisième espèce lisse ; unepetite lucine, des crassatelles généralement de petite taille et assez abondantes, un Anisocardia lamelleux comme
A. pectinifera ; ces cythérées allongées rappelant C. loevigata, deux espèces de Tellina, de très bonnes corbules ; une demi-valvlve de cyprinève, le crochet et l'empreinte de la charnière ; des volutes ; une mauvaise pyrule à trois rangs de tubercules,
un pleurotome indéterminable ; des moules de Natica ; d'assez bonnes turritelles, une calyptrée ; des dentales et de nombreuses térébratules.

Que peut en tirer de ces données paléontologiques ?
Tout d'abord que les grès à pavés et les sables verts appartiennent pour le moins à deux étages distincts.

Examinons l'âge des premiers.

Sont-ils crétacés, comme le dit M. Mourlon ? Si oui, où sont les fossiles caractéristiques de ce terrain ?

La térébratule ? Mais, dans son état, elle est à peine déterminable. La séparation des espèces du groupe des térébratules biplissées offre, en effet, des difficultés presque insurmontables, quand on n'a pour se guider que la forme extérieure. Aussi,
M. de Dorlodot remarque-t-il avec raison que cette térébratule présente au moins autant de ressemblance - beaucoup plus, dirons-nous, avec T. bisinuata de l'Eocène moyen qu'avec T. biplicata. Cependant, dans ce cas-ci, on peut dire que ce n'est pas T.
biplicata, espèce à contour variable sans doute, mais néanmoins bien distincute par son crochet recoubé au-dessus du deltidium,dont la forme est différente.
Et Ostrea lateralis ? Pourquoi ne serait-ce aussi bien O. eversa du Landénien ? Où sont, d'ailleurs les belemnitelles, Janira, rhynchonelles ou d'autres fossiles caractéristiques de toute couche crétacée fossilifère ? C'est en vain qu'on les cherche
parmi les diverses formes recueillies par nous dans les grès. Aussi, notre conclusion n'est-elle pas douteuse : ces grès ne sont pas crétacés.

Sont-ils bruxelliens comme le croit M. Dewalque ? Nous ne le pensons pas d'avantage, car, Ostrea lateralis ou eversa n'est pas de cet horizon, non plus que les genres Cucullaea et Cyprinu.

Pour les nous, les grès mammelonnés de Bouffioulx sont simplement landeniens.

Voici déterminés aussi exactement que leur permet leur état de préservation, les fossiles que nous y avons recueillis :

Corbula obliquata Arca sp. nov. ?
Corbula regulbiensis Cucullaea crassatina
Tellina Edwardsi Plicatula sp. nov. ?
Tellina pseudorostralis ? Pecten breviauritus
Cytherea proxima Ostrea lincentiensis
Anisocardia sp.nov. Ostrea eversa ou lateralis
Cyprina scutellaria Dentalium sp. ?
Cardium hybridum Calyptroea suessumiensis ?
Cardium trifidum Turritella bellovacina
Cardium Edwardsi , Natica semipatula ?
Lucina prona Natica infundibulum ?
Crassatella bellovacina Pyrula intermedia ?
Nuculus fragilis Voluta depressa ?
Leda prisca Terebratula Ortliebi ?
Pectunculus sp. ?
Arca lamellosa

Cette faunule est caractéristique ; car, à part la plicatule et Natica semipatula, nous possédons du Landenien du pays toutes les espèces déterminées, ainsi que l'anisocarde et l'arche nouvelle.

Les sables verts sont manifestement crétacés, comme avait reconnu M. Van Scherpenzeel. Nous regrettons seulement de n'avoir pu nous occuper, faute d'outillage, de la détermination des espèces que nous y avons rencontrées. Il se pourrait que ces sables
se rattachassent à ceux de la rive gauche de l'Eau d'Heure signalés par M. Briart. Ils appartiendraient, dans ce cas, à l'étage à Belemnitella quadrata ; mais nous laissons à un spécialiste le soin d'élucider ce point douteux.


1 - suite - L. BAYET

[figure]

Nota. A 50 mètres au Nord de la scierie de marbre de Bouffioulx, M. Van Scherpenzeel Tim a trouvé : Productus, Sp. glaber, Terebratula hastata. Plus au Sud, Productus. Dans les crevasses, sables verts avec grès +- bréchiformes cénomaniens (Annales de
la Société géologique Belgique, t. VII: XCVI).

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