146W0115.TXT

Feuille : 146W - HUY - 483
secteur : 8
numéro : 115
code : 146W0115 - 4830115
X :
Y :
Z :
commune :
auteur : Et. ASSELBERGHS, DEWALQUE, G., STOCKMANS, F.
références :

date : 08.1920

roche :
formation :

localisation :
nature : Affleurement

description :

Poudingue Couvinien d'une puissance de 20 mètres au minimum, forme escarpement.

114 & 115 - suite - G. DEWALQUE - 1874-1875

DEWALQUE, G., 1874-1875. Annales de la Société Géologique de Belgique, Liège, t. II.

page CXVI

100 mètres plus loin, on voit des grès gris clair ou bruns, avec beaucoup de schistes rouges. Vis-à-vis du moulin (ancienne papeterie de Waldor), on voit du poudingue à ciment abondant, vert sombre. Il reparaît à une centaine de mètres plus loin, avec
du grès rouge ou vert et du schiste rouge, dont la direction = 95° avec une inclinaison S = 35° environ ; puis quelques mètres de poudingue pugilaire, rouge brun, avec un peu de grès et de schiste rouge, puis du poudingue et des débris. Cinquante mètres
plus loin, à la borne kilométrique 6, du poudingue pugilaire, dont l'allure est la même, puis des débris, au milieu desquels le poudingue reparaît sur une centaine de mètres, avec quelques lits de schistes ou de grès, dont la direction est de 80° et
l'inclinaison S52°.

115 - suite - F. STOCKMANS - 1939

STOCKMANS, F., 1939. Bulletin du Muséer royal d'Histoire naturelle de Belgique, XV, n° 15, p. 3.

Route de Modave au S de la station de Régissa
Si à présent nous quittons la région de Tailfer classique pour l'étude de la base du Couvinien, et si nous allons examiner les affleurements du même âge dans la vallée du Hoyoux, nous trouvons sur le territoire de Vierset-Barse, au Sud de la station de
Régissa, quelques passées de schistes gréseux entre de gros bancs de poudingue. Une partie des empreintes végétales qui s'y rencontrent appartient au Calamophyton primaevum Kr. et Weyl. représenté par des axes et des feuilles et à Hoatimella hostimensis
Pot. et Bern. La majorité des empreintes est cependant indéterminable et consiste en des axes parfois très larges ; l'un de ceux-ci montre la même ornementation chagrinée par celle que nous avons figurée pour une tige de Naninne [Stockmans, F., loc.
cit. pl. I, fig. 2].