142E0118.TXT

Feuille : 142E - GOSSELIES - 464
secteur : 9
numéro : 118
code : 142E0118 - 4640118
X :
Y :
Z :
commune :
auteur : A. RENIER, A. GROSJEAN
références :
date : 1904-1905
roche :
formation :
localisation :

nature : Affleurement

description :

Puits de recherche de houille (Charbonnage du Petit-Try).

118 - suite A. GROSJEAN - 10.10.1940

STAINIER, X., 1938. Le Quaternaire inférieur des environs de Fleurus. Annales de la Société Scientifique de Bruxelles, série II, t. LVIII: 53-55.

J'ai aussi pu observer ces argiles [Note du Service géologique : il s'agit des argiles de base du Quaternaire décrites au n° 35-suite], dans un petit puits de recherche par le charbonnage du Petit-Try, en septembre 1902, à 22 m au Sud-Est du chemin de
fer Ransart-Fleurus et à 360 m du point où ce chemin de fer traverse la limite des planchettes de Gosselies et de Fleurus. Il est indiqué sur la carte géologique (feuille Gouy-lez-Piéton - Gosselies), mais aucune notation. J'ai pu y observer la coupe
suivante : altitude : 164 m. Limon brun ordinaire : 5 m.

Il passe insensiblement, vers le bas, à une argile vert très clair montrant des strates et des amas irréguliers de sable d'abord assz rude et verdâtre, gris et plus fin vers le bas. Ces strates souvent aussi rougeâtres étaient très aquifères, boulantes
et pour pouvoir continuer l'enfoncement il fallut employer un cuvelage étanche : 5 m. A la base, un petit cailloutis presque exclusivement formé de roches houillères roulées. En-dessous, houiller décomposé en une argile imperméable avec fragments de
schiste".

Note du Service Géologique
1. Le contexte indique qu'il s'agit ici des argiles de base du Quaternaire dont question au n° 35-suite.
2. Au lieu de : "Il est indiqué sur la carte géologique - feuille Gouy-lez-Piéton - Gosselies, mais sans aucune notation", il faut lire : "II est indiqué aux Archives de la Carte géologique (feuille Gouy-lez-Piéton - Gosselies), mais sans aucune
notation". En effont, le "Bon pour machine" de la feuille Gouy-lez-Piéton - Gosselies, date du 22.08.1900, soit deux ans avant le creusement du puits.

Sur le Houiller traversé dans ce puits n° 118, voyez aussi l'interprétation du sondage de Martinroux (n° 148 du dossier Gosselies).