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135W0089.TXT

Pl. Fléron - 135W0089 - 4270089

N°89(IVb) - A. SALEE - 1913

(2 Figures. 1 figure = Carte au 5/1.000 pour indiquer la situation exacte des affleurements mentionnés de 83 à 91)

Carrières du Bay - Bonnet.
L'ancienne carrière du Bay - Bonnet s'étend plus ou moins parallèlement à la route de Prayon à Fléron.
En prenant le chemin d'exploitation entre les établissements métallurgiques et les fours à chaux, nous avons du côté
Nord des couches, sous la cheminée de l'ancienne houillère, montrant une inclinaison Sud 35°E = 40°.
Du côté Nord, un terril cache ensuite les couches.
Du côté Sud, a été ouverte la nouvelle carrière de Bay - Bonnet dans des bancs énormes de calcaire bleu foncé à veines
de calcite très nombreuses. Même inclinaison.

L'ancienne carrière exploitait ces couches à peu près parallèlement à leur direction. Au delà du four à chaux vers le
Sud, l'exploitation a mis à jour des bancs de calcaire assez pâle, rubanés, montrant de nombreux cordons grossièrement
oolithiques.

N°89 (suite) - P. Fourmarier - 1934 - La géologie des dépôts de la terrasse des grottes de Fond-de-Forêt. Extrait du
Bulletin de la Société Préhistorique Française, n°11, 1934, pp.18-23.

(1 Figure : Coupe de la grotte principale et de la terrasse commune aux grottes de Fond-de-Forêt).

La fouille exécutée par les soins de mon collègue J. Amal-Nandrin dans la prairie formant terrasse inclinée au pied de
la paroi rocheuse où s'ouvrent les deux grottes de Fond-de-Forêt, a fourni une excellente coupe (fig.) comprenant les
niveaux ci-après, énumérés de haut en bas :

a. Niveau supérieur épais de 0m50 en moyenne, formé de terre végétale noirâtre englobant des fragments anguleux de
calcaire, en général peu volumineux ; quelques blocs plus gros se rencontrent cependant disséminés dans la masse ;
ce niveau passe progressivement au terrain sous-jacent.
b. Niveau épais de 1mètre à 1m50, formé de limon gris jaunâtre, légèrement bigarré de brunâtre, traversé par des
racines de plantes ; on n'y observe pas de cailloux calcaires, mais des instruments en silex de l'époque
magdalénienne y ont été rencontrés sur toute la hauteur.
c. Niveau épais de 1m30 environ, formé de blocaux calcaires, volumineux pour la plupart, empâtés dans un limon gris
brun, de teinte un peu plus foncée que le limon du niveau b ; on y a trouvé des restes de l'industrie moustérienne ;
il passe, sans limite nette, au niveau sous-jacent.
d. Niveau inférieur, découvert sur deux mètres environ au point le plus profonde de la fouille ; il est formé de
blocaux analogues à ceux du niveau précédent et ces blocaux sont empâtés dans un limon jaunâtre, fin, se distinguant
assez aisément par sa teinte plus claire du limon de couches c. aucun silex taillé n'y a été signalé.

Ces divers niveaux ne montrent ni l'un ni l'autre de stratification nette avec leur propre masse ; l'ensemble de la
formation présente cependant une disposition en couches successives assez mal séparées l'une de l'autre, mais qui se
distinguent cependant par la couleur du limon ou par la présence ou l'absence de blocaux calcaires.

En allure générale, ces couches sont disposées suivant la pente du sol superficiel ; il ne fait aucun doute que leur
disposition est la conséquence de phénomènes de solifluxion.
Au cours de la production de ceux-ci, il s'est fait des changements dans les conditions générales de la région,
changements qui ont amené une série de modifications dans la composition lithologique moyenne des dépôts. Il est
intéressant à cet égard d'établir une comparaison entre les données de la fouille décrite ci-dessus et les documents
recueillis lors de l'étude des dépôts de la grotte principale. On doit à plusieurs auteurs des indications
intéressantes à ce sujet.

En 1898, Tihon (F. Tihon, Les cavernes préhistoriques de la vallée de la Vesdre, fouilles à Fond-de-Forêt. Ann. Soc.
d'Archéologie de Bruxelles, t. XII, 1898) signale la succession suivante, l'énumération étant faite de haut en bas :

a. Couche supérieure de terre végétale, épaisse de 0m10.
a'. Couche d'épaisseur variable atteignant 1 mètre de limon jaune avec blocs calcaires, pauvre en industrie.
Ursus arctus, Cervus alaphus.
b. Couche de limon argileux, épaisse de 0m70, empâtant de nombreux blocs calcaires, parfois volumineux, riche en silex
moustériens, faune abondante (un fémur d'Homo Neanderthalensis).
c. Limon sableux, fin, jaunâtre, avec débris calcaires, reposant sur le rocher, pas d'industrie, ni de faune.

En 1907, Maurice Exteens (Bulletin de la Société d'Anthropologie de Bruxelles, t. XXVI, 1907) a indiqué la succession
suivante de haut en bas :

a. Couche de terre jaunâtre d'épaisseur variable, renfermant, à la base, de rares lames de débitage magdaléniennes.
b. Couche de terre noire ayant, en moyenne, 1 mètre de puissance, renfermant beaucoup de silex moustériens avec
Mammouth, Rhinocéros, etc.
c. Couche jaune épaisse de 0m40 ne renfermant ni faune ni industrie.

Il est facile de voir que l'ensemble des couches a et a' de la coupe de Tihon correspond à la couche a de Exteens ;
les couches marquées respectivement b et c dans les coupes des deux auteurs reproduites ci-dessus peuvent être
considérées comme équivalentes. C'est d'ailleurs pour la facilité de la comparaison que je les ai désignées sous des
lettres identiques.

A l'occasion du Congrès Archéologique tenu à Liège en 1909, A. Rutot publia (A. Rutot - Résultats des fouilles
effectuées dans la caverne de Fond-de-Forêt (Province de Liège). Annales du Congrès de la Fédération archéologique et
historique de Belgique, XXI° session, Liège, 1909, t. I, p.939) également la coupe des terrains à l'intérieur de la
grotte, je la reproduis ci-après en suivant l'ordre de haut en bas :

Alpha : Recouvrement irrégulier de stalagmite.
Béta : Eboulis de gros blocs de calcaire tombés de la voûte. Ursus arctus, 0m60.
Gamma : Lit limoneux avec petits blocs calcaires et ossements d'animaux, premier niveau ossifère 0m15.
Delta : Eboulis de gros blocs de calcaire empâtés dans du limon 0m30.
Epsilonn : Couche limoneuse, jaune brunâtre avec ossements et industrie magdalénienne, deuxième niveau ossifère 0m30.
Dzéta : Couche épaisse de blocs de calcaire de tous volumes empâtés dans une argile noirâtre ou gris foncé, avec
nombreux ossements et silex travaillés dans toute la masse, troisième niveau ossifère, moustérien, 1 mètre.
Eta : Sable argileux micacé, cailloux de silex, stérile au point de vue industrie humaine.

Bien que plus détaillée, la coupe dressée par M. Rutot peut être facilement parallélisée avec les deux précédentes, en
faisant abstraction des dépôts " alpha " et " béta " qui n'ont pas été renseignés par Tihon et Exteens. Les couches
gamma, delta et epsilonn sont alors l'équivalent de a de Exteens (a et a' de Tihon) ; la couche dzéta est l'équivalent
de b et êta peut être raccordés à la couche c.

En résumé donc, il existe, à l'intérieur de la grotte, au-dessus d'un niveau stérile, un dépôt à industrie moustérienne,
puis un niveau à industrie magdalénienne recouvert, par endroits tout au moins, de blocs éboulés et de stalagmite.
Au point de vue des industries humaines on trouve par conséquent la même succession que dans les dépôts de solifluxion
formant le sol en contrebas de la paroi rocheuse où s'ouvrent les grottes de Fond-de-Forêt.
Par la nature de son industrie, le niveau c correspond au niveau dzéta de la coupe de M. Rutot et de part et d'autres,
on trouve par dessus ce niveau des restes de l'industrie magdalénienne.

Est-ce à dire que les hommes qui ont taillé les silex avaient installé leur atelier aussi bien sur le terrain en pente
douce à l'aval des grottes qu'à l'intérieur de celles-ci ?.

Je ne le pense pas car j'ai eu mon attention vivement attirée par le caractère éluvial de la formation reconnue dans
la fouille exécutée par J. Hamal - Nandrin ; les silex sont disposés sans ordre entre les blocs calcaires du niveau c
et dans le limon b.

Dans la grotte principale, si l'on en juge d'après la description donnée par Rutot, les niveaux à ossements et silex
taillés sont plus distinctement marqués et séparés les uns des autres par des zones stériles ; dans son niveau
inférieur seulement, les silex travaillés sont indiqués comme disséminés dans toute la masse.

La nouvelle fouille (sondage S), exécutée en 1933 par les soins de mon collègue J. Hamal - Nandrin, a confirmé
entièrement les conclusions précédentes. Cette fouille, située à une soixantaine de mètres de la grotte, en aval des
recherches précédentes, a montré la succession suivante, les niveaux étant énumérés de haut en bas :

a. Niveau superficiel, formé de terre végétale, noirâtre, épais de 0m30 à 0m50.
b. Limon gris jaunâtre, tacheté de brunâtre, épais de 1m75 en moyenne ; de dépôt renferme de rares fragments de
calcaire, il a fourni des restes de l'industrie magdalénienne, disséminés dans toute la masse, plus nombreux cependant
dans les 0m20 de la base.

Le limon présente une stratification imparfaite marquée par de minces lits discontinus de teinte différente ; cette
stratification montre une inclinaison d'amont vers aval, sensiblement parallèle à la pente du sol.
c'. Niveau épais de 1m à 1m25 formé de blocaux calcaires disposés sans ordre ; les interstices sont remplis par du
limon, empâtant dans la partie inférieure, sur 0m30 à 0m40, des éclats de silex sans trace de taille intentionnelle.

La surface de contact entre ce dépôt à blocaux et le limon susjacent incline d'amont vers aval et est à peu près
parallèle à la stratification du limon.

Les blocaux reposent sur le calcaire en place, atteint à 3m25 environ sous la surface du sol.

La disposition même des dépôts ne laisse aucun doute sur leur mode de formation ; il faut y voir l'action des
phénomènes de solifluxion comme pour les dépôts rencontrés dans la fouille supérieure, voisine de la grotte.

Cependant, la coupe de la nouvelle excavation est plus simple en ce sens que les niveaux supérieurs seuls sont
représentés. Le niveau b de la fouille inférieure, avec industrie magdalénienne, correspond au niveau moustérienne ne
semble pas s'être avancé aussi loin vers l'aval. c'est ce que montre la coupe (fig.).

D'après ce qui précède, on peut concevoir de la manière suivante la genèse des dépôts s'étendant dans la grotte, à la
surface de la terrasse en front de celle-ci, et sur le versant du ravin en aval de la grotte.

Sur le sol de la grotte, avant son occupation par l'homme, les eaux sauvages venant du plateau et pénétrant par les
fentes du calcaire, ont déposé du sable, du limon, des cailloux ; en même temps, au pied de la falaise, et sur le
versant, par éboulement et solifluxion, s'accumulaient des blocs calcaires provenant de la désagrégation de la paroi
rocheuse ; les intervalles entre les blocs étaient remplis par de la matière limoneuse entraînée par les eaux de
ruissellement et de provenance analogue à celle de la couche inférieure du dépôt de la grotte. On ne trouve d'industrie
humaine, ni d'un côté ni de l'autre, puisque l'homme ne s'était pas installé dans la grotte.

Peu après, à l'époque moustérienne, l'homme de Néanderthal ou de Spy, a taillé des silex dans la grotte ou à l'entrée
de celle-ci ; des fragments de silex ont été mêlés à des ossements de Mammouth, de Rhinocéros, de grand Ours, etc.,
apportés par l'homme et ont été englobés dans des fragments de calcaire détachés de la voûte. Par le phénomène de
solifluxion et par éboulement, un dépôt analogue s'est formé en aval de la caverne ; il comprend des blocaux calcaires
et des fragments de silex moustériens rejetés ou abandonnés à l'entrée de la grotte.

Dans la suite, les conditions se sont modifiées, le limon seul a été entraîné sur la pente et avec lui, des silex
taillés par l'homme magdalénien qui avait succédé, dans l'occupation de la grotte, à l'homme moustérien. Le nouveau
dépôt formé d'éléments plus fins, s'est avancé plus loin, et c'est ainsi que l'industrie magdalénienne se rencontre à
l'aval de la zone occupée par l'industrie moustérienne.

De menus fragments de calcaire ont été entraînés avec le limon ; des éboulis de calcaire ont formé avec la terre
végétale la couche noire supérieure de la terrasse ; en même temps ; à l'intérieur de la grotte de nouveaux éboulis
recouvraient le sol, encroûtés eux-mêmes par de la stalagmite.

Les deux couches ossifères principales que l'on a trouvées dans la grotte et caractérisées chacune par une industrie
différente, paraissent correspondre à des changements dans les conditions climatiques de la région, changements peu
importants sans doute, vis-à-vis de la période froide du Quaternaire avec sa faune comprenant le Renne et le Mammouth,
changements suffisants cependant pour donner naissance à des dépôts différents dans leur composition lithologique
moyenne.

On conçoit facilement que les dépôts de solifluxion située en contrebas des grottes se soient modifiés parallèlement à
ceux qui recouvrent le sol de la caverne principale; on comprend ainsi qu'à une modification dans la nature des dépôts
correspond aussi un changement dans le type d'industrie et l'extension de ces dépôts.

N°89 (suite) - p.24 - La faune de al terrasse des grottes de Fond-de-Forêt par Charles Fraipont et Suzanne Leclercq.

Comme nous nous sommes assez éloignés des grottes, dans la prairie, la faune est très pauvre comme nous pouvions nous
y attendre. Nous avons déterminé :

Niveau b, Magdalénien ? :
Bos primigenius et Veau, Rangifer tarandus, Equus caballus, Canis lupus, Sus scrofa, Ursus spelaeus.

Niveau c, Moustérien :
Ursus spelaeus, Ursus arctos, Hyaena spelaca, Canis lupus, Elephas primigenius, Rhinocéros tichorhinus, Equus caballus,
Tarandus rangifer, Bos primigenius, Bouquetin des Pyrénées, Rupricapra rupricapa, Saiga.

La faune au niveau inférieur représente nettement le Moustérien froid correspondant au dernier glaciaire.

N°89 (suite) - SAAD BOUHANNI - 1982.

Versant au Sud des carrières au Bay Bonnet.
Vers le Sud, calcaire noir à pâte fine devenant plus clair vers le sommet de l'affleurement.
D = N5° à 25°E.
I = 20 à 35°SE.
Plan de discontinuité : D = N75° à 95°E, I = 75° à 80°N.


N°89 (suite)

Feuille : 135W - FLERON - 427
secteur :
numéro : 89
code : 135W0089 - 4270089
X :
Y :
Z :
commune : Trooz ( Bay-Bonnet)
auteur : P. P.Ghysel, M. Laloux
références : Saad BOUHANNI, 1982.
date : 24-12-92
roche : calcaire, nodules de chert
formation : Neffe, Lives
localisation : Versant SE de la Magne, face aux bureaux de la carrière du Bay-Bonnet (voir n°420) et falaises
bordant au S la carrière proprement dite
nature : affleurement

description : a. Tout le versant de la Magne constitue un affleurement quasi continu, depuis le n°420, constitué de grands
promontoires rocheux et d'une multitude de pointements plus petits avec de nombreuses cavités karstiques renseignées
par DUBOIS (1982) :
- caverne des Fonds de Forêt ou du Bay-Bonnet : X 244,18, Y 143,11, Z 145m (T.I, pp. 94-95, T.II, pl. 84).
- trou Wuinant : X 244,18, Y 143,28, Z 165m (T.I, pp. 96).
- trou des Nutons : X 244,16, Y 143,24, Z 167m (T.I, pp. 96, T.II, pl. 85).
- grotte de l'Ours : X 244,12, Y 143,22, Z 162m (T.I, pp. 96, T.II, pl. 87).
- Abri sous roche : X 243,97, Y 143,07, Z 155m (T.I, pp. 97, T.II, pl. 84).
Ces nombreux affleurements permettent d' observer le passage de la Formation de Neffe (dans le bas) à celle de Lives
(haut). Nous l'illustrerons par quelques points repères localisés à l' altimètre et décrits du N --> S.
1°: Le promontoire septentrional , montre sur une falaise inaccessible le Banc d' Or ( estimé à l'altitude de 145m).
Il sépare des bancs massifs de la Formation de Neffe de ceux de la base de la Formation de Lives montrant des
séquences à chapeau stromatolithique bien marqué. Ce contact est aussi visible sur la partie N du promontoire, dans la la carrière (voir b.), surplombant un petit cabanon .

2°: Grand promontoire au S, descendant au niveau d' une résurgence rejoignant la Magne. Bancs massifs de la formation
de Neffe jusqu'au sommet (147 m) - S0 29-125 , hiatus puis à l'altitude de 165 m pointements divers dont un niveau avec
coraux silicifiés (V2bg) - S0 35-142.

3°: Promontoire suivant vers le S, au sommet du versant (174 m à N304E des bâtiments de la carrière), en orée d'une
échancrure du bois, niveaux à nodules de cherts alignés parallèlement à la stratification et petits patch-reefs de
Siphonodendron martini (V2bg) - S0 35-115.

4°: Promontoire surplombant l' entrée de la grotte des Fonds de Forêt, sommet visible des bancs massifs de la Formation
de Neffe à 167m, hiatus puis pointements montrant des séquences à chapeau stromatolithique. - S0 22-137, S0 25-136,
S0 27-125, D 65-320.

5°: Promontoire surplombant l'ancienne ferme isolée. A 145 m, banc très épais avec colonies de Dorlodotia briarti.
A 176 m, banc très épais de calcarénite à laminations obliques avec brachiopodes alignés et coraux (Siphonodendron
ondulosum, Dorlodotia briarti). Ce dernier niveau est très proche du sommet de la formation de Neffe. - S0 30-107,
S0 33-121, D1 75-293,D2 75-351, D3 65-014.

b. bordure S de la carrière du bay-Bonnet (d' W en E) :
Le Banc d' Or repéré en a. est visible au-dessus d'un petit cabanon à l' extrémité W . Il est suivi de diverses
anciennes parois d'exploitation montrant des séquences de la Formation de Lives- S0 45-130. Une ancienne carrière
surplombant un grand atelier permet d' observer les premiers niveaux à cherts (V2bg).- S0 35-150, S0 40-170 .

[Pour respecter la numérotation, nous avons réservé arbitrairement le n°420 aux pointements en bordure du chemin
montant depuis la vieille ferme isolée, en bordure S du versant].

DUBOIS, J., 1982 - Cavités karstiques de la province de Liège - Serv. géol. Belg., Prof. Paper, 187, 188.

structure : a. N-->S S0 29-125
S0 35-142
S0 35-115
S0 30-107
S0 22-137
S0 25-136
S0 27-125
D 65-320
S0 33-121
D1 75-293
D2 75-351
D3 65-014
b. S0 45-130
S0 35-150
S0 40-170

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