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135E0421.TXT

PL. VERVIERS - 135E
P. FOURMARIER - Annales de la Société Géologique de Belgique t. 50, 1926-1927

421 VII p. B 211.

Si l'on se reporte au sud de la première faille décrite, on observe en haut de l'escarpement de la rive droite
de la Hoëgne un niveau de grès blanc grossier qui a été exploité dans quelques petites carrières aujourd'hui
abandonnées; ce grès est plus élevé, dans le série stratigraphique, que les schistes et grès n° 5 de la fig. 1,
et que les schistes rouges et grès visibles dans les tranchées du chemin de fer et appartenant au Hundruckien.
Ce grès dessine une série de plis que l'on peut suivre ,assez aisément et il descend ainsi jusqu'à mi-cote, en
face de l'endroit où la Hoëgne venant du Sud-Ouest, décrit un coude brusque vers le Nord et longe le pied de la
montagne. A très peu de distance au sud, on voit apparaître des schistes celluleux, d'abord avec bancs de
quartzite, puis avec schistes rouges et bigarrés; c'est le Gedinnien, bien caractérisé, qui se prolonge alors
jusque la faille de Theux.

La coupe de l'escarpement de la rive droite peut ainsi être représentée par le croquis figure 5.

1 FIGURE

Cb = Coblencien G.= Gedinnie g = Grès blanc.
n = Schistes noduleux. s =Schiste rouge et grès. F = Faille.

Il n'y a pas de doute qu'une faille met en contact le Gedinnien avec le Coblencien.

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