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134W0236.TXT

Feuille : 134W - SERAING - 425
secteur : 5a
numéro : 236
code : 134W0236 - 4250236
X :
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auteur :
références :

date :

roche :

formation :

localisation :
nature : Affleurement

description :

Essai n° 4bis exécuté à Seraing - Val St Lambert chez S.A. Cockerill (train à fil) par la S.A. Franki de Liège.
Date : 1974.
Repérage topographique par P. Van Wichelen.
Pas d'échantillons recueillis.
Profondeur de l'eau : parue pour la première fois : + 61,33 le 18/12/1973.
Cote approximative du sol naturel : + 65,98.

Extraits du rapport géotechnique

De + 65,98 m à + 59,98 m
Sur un mètre d'épaisseur, la résistance à la pointe monte à 60 kg/cm³ par suite du compactage superficiel.
De + 64,98 m à + 59,98 m, le diagramme prend une allure irrégulière et très oscillatoire bien que l'on peut observer une allure croissante de Ckd en fonction de la profondeur.

Nombreuses pierres, craquements dans le sol, spécialement sous la cote + 62,98 m et de même, chocs sur l'appareil ont été enregistrés. Ceci permet de conclure que le remblai est rempli de cailloux.

De + 59,98 m à + 56,58 m
De + 59,98 à + 57,98 m, la résistance à la pointe se maintient à une moyenne de 20 kg/cm², entre + 57,98 et + 56,58, la valeur Ckd devient pratiquement nulle.
Le frottement latéral dans cette zone est également pratiquement nul.
On se trouve en présence de la couche alluvionnaire particulièrement peu compacte en-dessous de + 57,98 m.
m à +
De + 56,58 m à + 52,10 m
Jusqu'à une profondeur de + 54,38 m, la résistance à la pointe monte à 120 kg/cm² d'une manière régulière ; au-dessous de + 54,38 m, l'allure redevient oscillatoire.
Les accroissements brusques de résistance à la pointe simultanément à une diminution du frottement latéral sont les signes évidents de la présence de cailloux à + 54,38 m, + 53,98 m, + 53,18 m. En outre, on enregistre de nombreux craquements dans le
sol entre + 53,98 m et + 51,98 m.
Ceci caractérise la nature graveleuse de la couche traversée.
A + 52,38 m, la montée de la résistance à la pointe et du frottement latéral permettent de dire que le cône de pénétration est probablement entré dans le bed-rock schisteux gréseux de l'assise houillère de la vallée de la Meuse.

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