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108W0330.TXT

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ADMINISTRATIEVE GEGEVENS & TECHNISCHE GEGEVENS
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Kaart-Nr: 108W
PLAAT: Visé
Nr: 330
Type Boring: creusement
Topografische kaart: 34/7
Uitgevoerd te: Canal Albert
Postnr:
Adres boorplaats: (I)

Opdrachtgever:
Boorfirma:
Boordatum: 1961
Topografie:
Stalen door:
Boringsmethode:
Lengte & doormeters:

Grondwaterstanden:
1ste maal:
Bij rust:
Tijdens pompen:
Debiet :
Waterzaaknr:
Totale diepte:
Stalen bewaard:
Maaiveld/ref. peil:
X:
Y:
NIS-code:

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BOORBESCHRIJVING
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Nr * Diepte Basis * AARD DER GRONDLAGEN
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La pente apparente des couches maestrichtiennes varie de 1 à 1,5 %
De haut en bas :
1. Limon brunâtre en épaisseur très variable de 0 à 6m50 (Limon Pléistocène)

2. Graviers nuculaires à pugilaires, à éléments de silex et de roches primaires.
Epaisseur de 0 à 12 mètres (Gravier de la Haute Terrasse)

3. Sable fin, verdâtre, micacé, non calcarifère. Epaisseur de 0 à 6 mètres; cailloutis à la base
(Eléments de silex et de tuffeau) (Sable Oligocènes : Tongrien)

4. Calcarénite à gros grains, lentilles très fossilifères : bryozoaires et foraminifères:Orbitolines.
Localement bancs durcis (Tuffeau de Maestricht : Zone Md des géologues hollandais).
Epaisseur : maximum 6 mètres ? dans cette tranchée. Limite imprécise vers le bas

5. Calcarénite à gros grains. Quelques rares horizons à silex. Localement : amas de
Pyrgopolon, d' Ostreidae. Un banc de Pyrgopolon, plus ou moins continu en souligne la
base (Tuffeau de Maestricht : zone Me des géologues hollandais)

6. Calcarénite à grains moyens et fins. Horizons à silex noirâtres, violacés, brunâtres ou rosés;
Ces niveaux sont peu nombreux et peu continus. Vers la base : 2 ou 3 bancs de silex plus ou
moins continus. Dont de nombreux silex tubulaires. Epaisseur : 15 mètres (Tuffeau de
Maestricht : Zone Mb des géologues hollandais)

7. Mince couche : centimétrique à décimétrique, souvent anastomosée. Comprenant de nom-
breux petits Pectinidae et des Coprolithes millimétriques d' où son non de "Couche à copro-
lithes". Elle contient de nombreux restes de fossiles remaniés de la zone sous-jacente. C' est
ce niveau particulier qui a livré quelques uns des mosasauriens complets de la région ainsi
que de nombreux restes de squales (dents orales, dents rostrales, formations dermiques,
vertèbres et fragments de cartilage) et de poissons : vertèbre, écailles, dents isolées et osse-
ments céphaliques ou appendiculaires divers.
Approximativement à la verticale du Km 17.500, nous pûmes observer un chenal entamant
sur une vingtaine de centimètres de profondeur le tuffeau Cr4 sous-jacent. Le fond de ce
chenal et ses parois, comme les méplats le bordant, étaient légèrement indurés (début de
hard ground). Outre un important matériel ichtyologique, d' innombrables échinides (Cato-
pygus - Oolopygus et Nocleopygus) y furent récoltés.

8. Calcaire détritique blanchâtre à grain moyen, contenant de nombreux alignements réguliers
de silex gris foncé à noir. Une quinzaine de ces bancs ont reçu des noms de la part des
carriers. Ces bancs ainsi que les 2 ou 3 bancs de la Zone Mb constituent la série des "Silex
repères" (Bancs du dessus, Petit Banc Noir, gros banc bleu etc. ...) qui ont servi à
interpréter de nombreux sondages dans la région.
Sous ces bancs de silex repères, on notera de nombreux autres alignements d' horizons à
silex. Ces silex sont noirs, plus ou moins gros et en forme de boules; d' où leur nom local de
"Bancs à Boules". Cette masse de tuffeau appartient au Cr4 des géologues hollandais.
Epaisseur maximale visible au-dessus du niveau du chemin de halage : 17 mètres.

En conclusions, dans cette tranchée du Canal Albert on peut observer et échantillonner un peu plus de 50 mètres (stampe) des horizons du Tuffeau de Maestricht (Maestrichtien supérieur).
Par dessus ce Maestrichtien supérieur, on notera des vestiges importants de Sables tongriens.

Le Maestrichtien et le Tongrien sont tronqués par les dépôts de gravier de la Haute Terrasse de la Meuse dans lesquels plusieurs cycles sont visibles.

Enfin, un manteau de limon vient coiffer le tout.

On notera encore la présence de nombreuses poches de dissolution verticales ou sub-verticales à remplissage mixte : tertiaire - quaternaire.




2







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STRATIGRAFISCHE INTERPRETATIE
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Top * basis *STRATIGRAFISCHE EENHEDEN
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OPMERKINGEN EN ANALYSES
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Canal Albert - Tranchée de Caster

Les travaux de creusement et d' élargissement du canal Albert ont permis de suivre l' évolution de cette coupe. Nous reprendrons la coupe publiée dans le 7ème colloque européen de micropaléontologie (Pays-Bas et Belgique) de 1961 (publié en 1963) et la commenterons.

Echelles :
Horizontale : 1/20.000
Verticale : 1/2.000
Orientation NNW-SSE
Rive droite (Est)

(In origineel : 1 figuur)





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AUTEURS
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J. Herman

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EBEN – EMAEL
Canal Albert
Tranchée de Caster

Localisation : Carte topographique 1/10.000 IGN: Feuille Visé 34/5. Carte géologique 1/40.000 : Planchette Visé – Fouron Saint Martin (1896). Carte géologique 1/50.000 : Tongeren (2001). Archives SGB : 108W330 (I).
La tranchée de Caster se situe entre l’écluse de Lanaye (au sud) et la vallée du Geer (au nord), plus précisément entre les km 17.100 et 18.500 du canal Albert

Profil géologique : Situation et section schématique: extraits du 7ème colloque de micropaléontologie européen (Pays-Bas et Belgique) 1961. Guide d'excursions. GULINCK M. 1963. Paroi orientale de la tranchée du canal. Section à hauteur du km 17.500 (J.HERMAN non publié, 1972).

Description :

Formations recoupées :
La section présente du haut vers le bas : des dépôts d’âge Quaternaire (Limons de couverture et Graviers de la Haute Terrasse de la Meuse) , d’âge Tertiaire (Oligocène, Sables attribués à la Formation de Tongres), et d’âge Secondaire ( Calcarénites ou Tuffeaux de la Formation de Maastricht et Craies de la Formation de Gulpen ).
Le pendage apparent des couches crétacées est de 1 à 1.2% ; le pendage réel et de 1.5% nord. Plusieurs poches de dissolution subverticales à remplissage mixte de sédiments tertiaires et quaternaires affectent les couches crétacées quelquefois sur plus de 20m de hauteur.

Détail de la section (du haut vers le bas) :

Quaternaire
1. Limon brunâtre , d’épaisseur variable comprise entre 0m50 à 6m50 le long de la tranchée.

2. Graviers et galets nuculaires à pugilaires, avec éléments sporadiques plus volumineux, de silex et de roches primaires. Le maximum d’épaisseur observé est de 12m.

Tertiaire (Oligocène -Tongrien)

3. Sable fin , verdâtre, légèrement micacé et non calcarifère. Ce sable est azoïque. Son aspect, sa minéralogie et sa position géométrique permettent de l’attribuer à la Formation de Tongres (Oligocène). Un cailloutis plus ou moins régulier de silex remaniés et de fragments de tuffeaux altérés et indurés s’observe à la base.

Secondaire (Crétacé – Maastrichtien)

4. Calcarénite à gros grains (calcirudite) avec lentilles fossilifères constituées essentiellement de fragments de bryozoaires et de tests de grands échinides. Quelques bancs ou horizons indurés s'observent localement. Maastrichtien supérieur ( Formation de Maastricht, Membre de Meerssen, anciennement Tuffeau de Maestricht, zone Md). Epaisseur: 5 à 6m dans cette tranchée.

5. Calcarénite à grains moyens avec quelques rares horizons silexifères discontinus. Des amas d' huîtres se rencontrent sporadiquement. La base est marquée par un banc relativement continu de tubes de vermidiens (Pyrgopolon mosae) appelé autrefois "Banc à dentales". Maastrichtien supérieur (Formation de Maastricht, Membre de Nekum, anciennement Tuffeau de Maastricht , zone Mc). Epaisseur : un peu plus de 11m.

6. Calcarénite à grains fins à moyens dans laquelle se présentent quelques rares horizons à silex noirâtres, violacés ou rosés. Deux ou tantôt trois bancs de silex généralement tubulaires et relativement continus sont présents vers la base. Maastrichtien supérieur (Formation de Maastricht, Membres de Emael, Schiepersberg, Gronsveld et Valkenburg, anciennement Tuffeau de Maastricht, zone Mb). Epaisseur: environ 17m.

7. Couche constituée essentiellement d'une accumulation de petits brachiopodes (Thecidea papillata) et de minuscules coprolithes. Elle contient de nombreux petits échinides irréguliers (Catopygus, Oolopygus, Nucleopygus …) Elle est très dense, à peine centimétrique à décimétrique, à l'extrémité nord de la tranchée et d'épaisseur métrique mais plus diffuse à l'extrémité sud. Elle recèle en outre de très nombreux restes d'élasmobranches (dents orales ou rostrales, formations cutanées, vertèbres et même quelques fragments de cartilage) et de téléostéens (vertèbres, ossements divers, écailles et dents). A hauteur du km 17.500 s'observa un chenal d'une profondeur de 20 à 25 cm dont le contenu du comblement s'avéra d'une extraordinaire richesse de ces restes de vertébrés, auxquels s'associaient diverses pièces osseuses de chéloniens ainsi que des dents et ossements de mosasauriens. Maastrichtien supérieur (Formation de Maastricht, Horizon de Lichtenberg, base du Membre de Valkenburg, anciennement Tuffeau de Maastricht , zone Ma).

8. Craie blanchâtre, finement à moyennement grenue, contenant de nombreux alignements réguliers parfaitement horizontaux de silex gris à noir, tabulaires à subtabulaires, se succédant avec un espacement d' environ 1m. Les carriers attribuèrent à chacun de ces quinze à vingt bancs ainsi qu'aux deux - trois bancs de la base de la zone Mb un nom particulier qui reflète leur singularité (Banc du dessus, Petit banc noir , Gros banc bleu etc.). Sous ces bancs regroupés sous l'appellation "Zone à silex repères" s'observent encore de nombreux autres alignements d' horizons silexifèreres . Ces silex sont d’un noir profond , plus ou moins volumineux et en forme de boule, d'où l'appellation locale "Zone des bancs à boules ». Maastrichtien inférieur. (Formation de Gulpen, Membre de Lanaye , anciennement partie supérieure de la Craie de Gulpen . Epaisseur : 11m à hauteur de la section (Fig . .. Petit banc noir)

Taphonomie et paleoenvironnement :

La fin du Maastrichtien inférieur est marquée par le dépôt de sédiments crayeux dont le grain moyen est sensi- blement plus grossier que celui des sédiments précédents, mais ne se relève aucune perturbation significative dans la régularité du dépôt . Le milieu est supposé de profondeur faible, hors d’atteinte des effets mécaniques des grandes tempêtes.
Dès le début du Maastrichtien supérieur, les sédiments sont plus grossiers , de craies ils passent à des calca- rénites et la série se termine par des calcirudites. L’environnement est devenu nettement moins profond, les fonds sont fréquemment agités et divers horizons semblent être les enregistrements de phases sublittorales à intertidales.
Les plus remarquables sont les Horizons de Lichtenberg, de Romontbos et de Laumont. Les deux premiers ont concentrés de nombreux restes d’élasmobranches particulièrement bien préservés (Fig ..). Il est fréquent d’y trouver sur une surface très restreinte plusieurs dents d’un même individu. Quelques dents d’un petit aiguillat, espèce à dents imbriquées , ont été découvertes encore en connexion anatomique (Horizon de Romontbos).
L’Horizon de Laumont présente de très vastes aires d’épandages de tubes calcaires de Pyrgopolon mosae alignés suivant la direction des courants de flux et reflux (Fig. …).
La plupart des tests des grands échinides, tels Echinocorys dans la Craie de Gulpen , ou Hemipneustes dans la partie supérieure du Tuffeau de Maastricht, sont porteurs de colonies de petites huîtres (Fig. …), de bryozoaires ou de vermiformes à tube calcaire. Ce phénomène atteste qu’après extraction brutale de leur milieu naturel (en- fouissement dans le sédiment) rejet et mort subséquente, les tests demeurent sur la surface du fond un laps de temps suffisant pour permettre la croissance de ces épibiontes.
Les grandes coquilles des délicates avicules (Fig. ..) et des plus massifs isognomons se rencontrent à certains niveaux, mais toujours dépareillées.


Références bibliographiques :

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SERVICE PUBLIC DE WALLONIE
Service géologique de Wallonie (SGW)
URL : geologie.wallonie.be

CARTE GEOLOGIQUE DE WALLONIE
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Description d' affleurement
Numéro : 3470330
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Date : 12/09/2006
Commune : Bassenge
Décrit par : J.M.Marion, L.Barchy
Roche(s) : calcaire sableux, tuffeau, sable
Formation(s) : Maastricht, Tongres

Localisation : non précisé
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DESCRIPTION :
330 - suite - J.M. MARION, L. BARCHY - 12.09.2006
Localisation : tranchée de caster le long du canal Albert en face du fort d'Eben-Emael.
Calcaire sableux, craies à silex et sables.
b) présence d'une faille montrant un décalage vertical des niveaux de silex.
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