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088W0025.TXT

PL. BRUXELLES 88W

Raeymaekers D. et Vincent E.

25(VIII) (Ann. Soc. malacologique de Belgique. Bruxelles,1890,
t.XXV, pp.XLIII-XLIX (Proc. Verb.)

Puits de l'Hôpital militaire.

Notre collègue M. le baron van Ertborn vient de
forer, dans cet établissement, un puits artésien
destiné à fournir l'eau nécessaire aux différents
services qui s'alimentent à la distribution de la ville

Grâce à l'obligeance de notre collègue et à celle
de M. le capitaine du génie Bihin, il nous a été donné
de suivre journellement les travaux, de réunir une
collection complète d'échantillons des roches
traversées et de nous procurer tous les renseignements
désirables.

Trois séries de tubes ont été employées comme
revêtement du puits : la première, d'un diamètre
intérieur de 36 centimètres, descend jusqu'à 40 mètres
de profondeur; la deuxième, de 28 centimètres s'arrête
à 80 mètres; la dernière, de 22 centimètres, atteint
119,25m.

Le puits a été exécuté au fond d'une citerne-cave
profonde de 4.95m. et son orifice se trouve à la cote
+ 76.18m.

Le niveau hydrostatique s'établit à 17.10m. de la
surface, soit à la cote + 59.08m.

Le débit, mesuré au moyen d'une faible pompe à bras
est évalué à 16 litres à la minute.

La cave est creusée dans des sables fins, jaunâtres
laekeniens, surmontés de limon.

Puits proprement dit :

Profondeurs Epaisseur

Sable jaunâtre, fin, avec petits grains
siliceux noirâtres, se chargeant de
graviers en descendant 0.00 à 5.00 5.00
Banc de grès calcareux tendre 5.00 à 5.15 0.15
Sable roussâtre avec fragments de grès
calcareux tendres 5.15 à 8.20 3.05
Grès calcarifères à grains fins 8.20 à 8.40 0.20
Sable fin, calcareux, gris jaunâtre 8.40 à 9.30 0.90
Grès calcareux, gris jaunâtre 9.30 à 9.48 0.18
Sable calcareux 9.48 à 10.80 1.32
Grès jaune grisâtre, calcareux,
assez dur 10.80 à 11.05 0.25
Sable calcareux 11.05 à 13.00 1.95
Grès calcarifère dur 13.00 à 13.28 0.28
Sable gris blanchâtre, marneux,
se chargeant de petits graviers
peu abondants du volume d'une
tête d'épingle 13.28 à 14.50 1.22
Grès calcareux avec rares petits
graviers 14.50 à 14.80 0.30
Sable jaunâtre, calcareux avec graviers
un peu plus abondants 14.80 à 15.70 0.90
Un grès très dur, domme ci-dessus 15.70 à 15.95 0.25
Sable très dur comme ci-dessus 15.95 à 16.60 0.65
Grès très dur, comme ci-dessus 16.60 à 16.75 0.15
Sable très dur, comme ci-dessus 16.75 à 17.20 0.45
Grès très dur, comme ci-dessus 17.20 à 17.45 0.25
Sable très dur, comme ci-dessus 17.45 à 18.30 0.85
Grès très dur, comme ci-dessus 18.30 à 18.50 0.20
Sable très dur, comme ci-dessus 18.50 à 19.25 0.75
Grès très dur, comme ci-dessus 19.25 à 19.35 0.10
Sable très dur, comme ci-dessus 19.35 à 21.05 1.70
Grès très dur, comme ci-dessus 21.05 à 21.10 0.05
Sable très dur, comme ci-dessus 21.10 à 22.12 1.02
Grès très dur, comme ci-dessus 22.12 à 22.32 0.20
Sable très dur, comme ci-dessus 22.32 à 23.10 0.78
Grès trés dur, comme ci-dessus 23.10 à 23.20 0.10
Sable trés dur, mais devenant
plus grossier 23.20 à 24.30 1.10
Grès, comme plus haut 24.30 à 24.40 1.10
Sable gris blanchâtre, calcarifère,
avec grains noirâtres, silicaux,
plus grossiers 24.40 à 24.60 0.20
Grès calcareux dur 24.60 à 24.80 0.20
Sable calcarifère, comme ci-dessus
avec Nummulites 24.80 à 26.15 1.35
Grès lustré très dur 26.15 à 26.45 0.30
Sable graveleux, jaune grisâtre
avec nombreux débris d'Ostrea
cymbula, dents de squales, Myliobates,
une vertèbre de poisson et petits
cailloux noirs et autres 26.45 à 27.00 0.55
Grès grossier, très dur. Un trépan
pesant près de 500 kilogrammes s'est
cassé sur ce grès 27.00 à 27.25 0.25
Continuation du gravier; quartzites
siluriens, dents de squales 27.25 à 27.85 0.60
Grès grossier, très dur, renfermant
des parties argileuses, grises et
percé de tubulations; mêmes fossiles
que plus haut 27.85 à 28.25 0.40
Continuation du gravier, mêmes
fossiles et Nummulites 28.25 à 29.50 1.25
Grès très dur, comme plus haut; moule
interne de Turritella indéterminable 29.50 à 29.70 0.20
Gravier grisâtre comme plus haut 29.70 à 30.10 0.40
Grès très dur, comme plus haut,
renfermant de nombreuses dents de
poissons 30.10 à 30.30 0.20
Gravier, id. mêmes fossiles 30.30 à 30.65 0.35
Argile rougeâtre quand elle est
humide, jaunâtre quand elle est sèche
fine, plastique, un peu sableuse 30.65 à 30.95 0.30
Sable verdâtre quand il est humide,
grisâtre quand il est sec, fin,
faiblement micacé 30.95 à 35.25 4.30
Argile sableuse, verdâtre 35.25 à 45.40 10.15
Même argile, mais moins sableuse,
compacte 45.40 à 68.80 23.40
Argile compacte, grisâtre, peu
sableuse 68.80 à 70.30 1.50
Argile compacte, grisâtre, très peu
sableuse, se polissant dans la coupure
pyritifère. Délayée dans l'eau, elle
donne rapidement la réaction du sulfate
ferreux. Les morceaux exposés à l'air,
se couvrent des efflorescences
caractéristiques. A 78 mètres, on
rencontre un septaria peu volumineux,
avec enduit de pyrite 70.30 à 86.70 16.40
Argile sableuse, grisâtre, fine,
pyritifère, avec rognons de septaria 86.70 à 94.40 7.70
Sable verdâtre, fin, glauconifère,
micacé. Faible niveau d'eau 94.40 à 96.75 2.35
Argile sableuse grisâtre, très peu
micacée 96.75 à 100.35 3.60
Argile compacte, grisâtre, peu
sableuse avec psammites 100.35 à 117.00 16.65
Argile compacte, gris-verdâtre, peu
sableuse, se polissant dans la
coupure 117.00 à 119.15 2.15
Gravier formé d'un sable fin,
glauconifère contenant des silex
jaune-grisâtre, à surface verdie, des
fragments de grès primaires verdâtres
des éclats de cristaux de quartz
renfermant de la chlorite, des rognons
roulés de craie grisâtre durcie. Nous
y avons trouvé aussi deux extrémités
de baguettes de Cidaris. Nappe d'eau
cherchée 119.15 à 119.75 0.60
Argile gris-bleuâtre, fine, plastique
provenant de la décomposition du
schiste primaire. Elle devient
rougeâtre et moins plastique au contact
du schiste sur lequel on s'est arrêté. 119.75 121.84 2.09



Il nous a été impossible, par suite du système
de forage employé, de déterminer exactement le niveau
de la superposition du laekenien sur le bruxellien.
En nous appuyant sur les observations directes,
effectuées aux environs immédiats de l'hopital, nous
plaçons la séparation de ces deux étages à la
profondeur de 5 mètres.

Cela posé, le bruxellien a une épaisseur de 25.65m
Il est calcareux, et renferme vingt-deux bancs de grès
dont les inférieurs sont les plus durs : un trépan s'est
cassé sur l'un d'eux. En somme, ce bruxellien ne
présente rien de remarquable, sauf à la base, où
nous constatons un gravier épais, fossilifère. Ce
dernier rappelle celui que l'on observe dans les
mêmes conditions au sud de Louvain, etc., et ressemble
peu au conglomérat de Calevoet, dont il est cependant
l'équivalent indubitable. Nous nous chargeons
d'ailleurs de démontrer, un de ces jours, par la
paléontologie, que le gravier de Calevoet-Helmet est,
non pas paniselien, comme on le croit généralement,
mais bruxellien. Nous profitons de la même occasion
pour affirmer que la plupart des couches dont il a
été parlé dernièrement par MM. Velge et Mourlon, et
que le premier de ces collègues rapporte à l'yprésien
supérieur, sont d'un âge éocène moyen.

Dans une note succincte sur le sondage du dépôt
des tramways à vapeur d'Ixelles, notre collègue M.
Mourlon a signalé l'existance, dans ce puits, d'un beau
gravier dont la position précise est inconnue, mais
qui semblerait provenir, selon ce géologue, d'un
niveau supérieur à la base même du bruxellien. A cause
de la faible distance qui nous sépare de ce puits, nous
sommes portés à croire que l'échantillon en question
pourraît avoir été mal annoté ce qui semble ressortir
de l'aveu du maître-ouvrier chargé de rassembler les
échantillons, qui nous a assuré que le bruxellien
reposait sur l'yprésien, comme ici, par l'intermédiaire
d'un gravier.

L'yprésien est représenté par une série de
dépôts puissants de 63.75m. La partie supérieure est
formée de sables très fins verdâtres quand ils sont
humides, grisâtres lorsqu'ils sont secs.
Ils passent à l'argile inférieure, assez épaisse, au
sein de laquelle on rencontré quelques septaria
solitaires, de faible dimension et plus ou moins
chargés de pyrite.

Viennent ensuite les sables landeniens,
glauconifères et aquifères, dites "sables verts". Leur
épaisseur (2.35) n'à rien qui sort des limites que
nous leur connaissons aux environs de la capitale.
Ils passent, vers le bas, à une masse argileuse
grisâtre, dont certaines parties, un peu durcies,
pourraient être regardées comme psammites. Cette
argile devient plus saleuse vers le bas et se termine
par un gravier épais de 60 centimètres constitué par
des fragments de silex crétacés verdis et de morceaux
de grès primaires noyés dans un sable glauconifère
assez fin. Toute cette série landenienne mesure 25.35m.
et est comprise entre les profondeurs 94.40 et 119.75m.

La sonde traversa enfin 2.09m. d'une argile fine,
plastique, bleuâtre, devenant rouge à sa partie
inférieure. Nous l'envisageons comme un produit de
désagréation du schiste primaire touché lui-même à
121.84m.


Les traits saillants qui se dégagent de ces
données sont donc :

a) La présence, à la base du bruxellien, d'un beau
gravier que nous assimilons aux dépôts similaires de
Calevoet-Helmet, du Brabant oriental, etc.;

B) L'absence de craie et la superposition directe du
landenien sur le primaire, fait déjà constaté dans les
sondages situés au sud de Bruxelles;

C) La cote élevée du niveau hydrostatique (+59.08),
fait également observé dans la plupart des puits de
cette région.

Nous avons réuni dans le tableau suivant quelques
indications sur cinq puits de cette zone.

Tabel


Il ressort de ce tableau que le silurien plonge
de 16.80m. vers l'Est, pour une distance de 4
kilomètres environ, ce qui équivaut à une pente de 4
milimètres par mètre. Cette déclivité combinée à
la pente SSW-NNE que nous connaissons déjà, donne une
résultante dirigée vers le NE.

Quand au niveau hydrostatique, il est à peu près à
la même cote dans les puits des Glacières et du dépôt
du tram, tandis qu'il remonte à la brasserie de la
Chasse-Royale, où il atteint la cote la plus élevée
observée jusqu'aujourd'hui aux environs de Bruxelles
(+67 mètres).

------------------------

1) Nous devons les renseignements concernant ce sondage
à la bienveillance du capitaine Bihin, qui les avait
communiqués aussi à M. van Ertborn, mais de mémoire.
C'est à cette dernière circonstance qu'il faut attribuer
les écarts entre nos chiffres et ceux publiés par M.
Mourlon. (Proc. verb. Soc. royale malacol. de Belgique
séance du 1er février 1890).

2) D'après M. van Ertborn (Procès-verbal de la Soc. géol
de Belgique, séance du 19 juin 1889).
-----------------------

Nous ferons observer, pour terminer, que nous
n'avons pas fait usage du terme "landenien supérieur"
pour désigner les "sables verts". Il n'est pas démontré
pour nous, que les couches à Cyrènes, observées à
Menin, Gand et Ostende, soient bien le prolongement de
ces sables verts, tandis que nous voyons plus
volontiers dans ces derniers la partie supérieure
sableuse du Landenien inférieur, assez développée dans
quelques régions du pays et considérée sans doute
quelquesfois comme landenien supérieur.

---------------------------------------------------------------------

PL. BRUXELLES 88W
A. RUTOT.

25(VIII) Note sur quelques puits artésiens creusés à Bruxelles
"Bull. Soc. belge de géol. Bruxelles, t.V, p. 56 (Mém).

Puits artésien de l'Hôpital Militaire,
Avenue de la Couronne-Ixelles.

A la même séance du 3 mai 1890, MM. Raeymaekers et
E. Vincent ont fourni la coupe du puits artésien creusé
au nouvel hôpital militaire. Ce puits a été foré par
M. van Ertborn.

Le puits a été effectué au fond d'une citerne-
cave profonde de 4.95m. creusée dans des sables fins,
jaunes, appartenant au Laekenien, surmontés de limon.

Cote de l'orifice : 76.18


Terrains rencontrés : Epaisseur

Etage Sable jaunâtre, fin, avec petits grains siliceux
laekenien noirâtres, se chargeant de gravier en descendant 5.00m


Etage Banc de grès calcareux tendre 0.15m.
bruxell. Sable calcareux avec bancs de grès calcareux,
renfermant entre 13.28m. et 15.70 de petits
niveaux graveleux 19.25
Sable gris blanchâtre, calcarifère, avec
grains noirâtres 0.20
Grès calcareux dur 0.20
Sable calcarifère avec Nummulites 1.35
Grès lustré très dur 0.30
Sable graveleux, jaune grisâtre, avec
nombreux débris d'Ostrea cymbula, dents de
squales, myliobates, une vertèbre de poisson et
Etage petits cailloux noirs & autres 0.55
bruxel- Grès grossier très dur 0.25
lien Gravier, quartzites siluriens, dents de squale 0.60
Grès grossier trés dur avec perforations
d'annelides, fossilifère 0.40
Gravier fossilifère avec Nummulites 1.25
Grès très dur avec moule de Turritelle 0.20
Gravier 0.40
Grès très dur avec nombreuses dents de squales 0.20
Gravier fossilifère 0.35 25.65


Etage Argile jaunâtre, fine, plastique, un peu
ypresien sableuse 0.30
Sable verdâtre, fin peu micacé 4.30
Argile sableuse, verdâtre 10.15
Même argile, moins sableuse 23.40
Etage Argile compacte, grisâtre, peu sableuse 1.50
yprèsien Argile compacte, grisâtre, pyritifère,
renfermant, à 78.00m. de profondeur, un petit
septaria avec enduit de pyrite 16.40
Argile sableuse, grisâtre, fine, pyritifère
avec rognons de septaria 7.70 63.75


Etage Sable verdâtre, fin, glauconifère, micacé,
landenien avec faible niveau aquifère 2.35
Argile sableuse, grisâtre, trés peu micacée 3.60
Argile compacte, gris-verdâtre, peu sableuse
avec psammites 16.65
Etage Argile compacte gris-verdâtre 2.15
landenien Gravier de sable fin, glauconifère, empâtant
des silex jaune-grisâtre, à surface verdie,
des fragments de grès primaires, de quartz
cristallisé, de rognon roulés de craie grisâtre
durcie. Deux fragments de piquants de Cidaris
Niveau aquifère 0.60 25.35


Argile gris bleuâtre, fine, plastique
Terrain provenant de la décomposition du schiste
silurien primaire. En descendant elle devient
rougeâtre et passe au schiste en place 2.09
--------
Profondeur totale 121.84m


Les auteurs font remarquer que le mode de forage
n'a pas permis de constater le contact précis du
Laekenien sur le Bruxellien, mais que des observations
directes faites aux environs de l'hôpital montrent que
ce contact a dû avoir lieu à 5 mètres sous l'orifice.

Le Bruxellien, épais de 25.65m. a été très difficile
a traverser. Les grès de la partie inférieure se sont
montrés très durs et, à 27 mètres, un trépan de 500
kilogrammes s'est brisé sur un de ces grès.

Une particularité du Bruxellien est également
l'abondant gravier qui s'est présenté, entrecoupé de quatre
bancs de grès dur, sur 4.20m. entre les profondeurs
26.45m. et 30.65m. Ce gravier constitue la base du
Bruxellien; il n'est pas formé d'éléments volumineux
et il renferme beaucoup de débris de poissons : dents
et vertèbres.

Les auteurs font de ce gravier la base du
Bruxellien; cette détermination me paraît évidente,
mais où je ne puis suivre MM. Raeymaekers et Vincent,
c'est quand ils l'identifient au conglomérat de Helmet
et de Calevoet, que je continuerai à considérer,
d'après le travail de M. G. Vincent, comme les vestiges
du littoral panisellien, jusqu'à preuve du contraire.

La craie fait défaut, dans ce dosage, entre le
cailloutis base du Landenien et le soubassement
primaire.

Enfin, les auteurs font remarquer qu'ils ne
rattachent pas le sable vert, fin, généralement
aquifère, formant le sommet du Landenien, au Landenien
supérieur, comme on le fait parfois.

Je suis entièrement de cet avis, ce sable n'est
que le sable d'émersion du Landenien marin; mais
d'autre part, à la suite des études générales que j'ai
entreprises sur le Landenien de notre pays, j'en suis
arrivé à supprimer entièrement le terme "Landenien
supérieure" attendu que les dépôts rangés dans le
Landenien supérieur, ne sont que des équivalents, des
facies latéraux du sable d'émersion.

Ce résultat est fondé sur ce que l'on ne
rencontre jamais de superposition de dépôts rangés
jusqu'ici dans le Landenien supérieur, sur une
épaisseur normale du sable d'émersion dont il est
question.

J'ai donc adopté la formule suivante pour les
notations du Landenien :

Ldd. sable d'émersion. ( L d.m. Facies lagunaire.
( L d.n. Facies fluvio-lagunaire
( L d.o. Facies fluvial.

L d.c. argile à psammites, tuffeau.
L d.b. sable glauconifère d'immersion
L d.a. gravier d'immersion.

Le facies à Cérithes et Cyrènes entre dans le terme L d.m. ou
facies lagunaire.

Je compte donner prochainement les preuves de ce que
j'avance.


Niveau hydrostatique : L'eau établit son niveau à 17.10
sous la surface, soit à la côte 59.08.

Débit : Le débit est évalué à 16 litres à la minute.
Tubage : On a placé trois séries de tubes :

1o 36 centim. de diamètre sur 40m. de profondeur.
2o 28 centim de diamètre sur 80m. de profondeur.
3o 22 centim. de diamètre sur 119.25 de profondeur.


Rutot A. - Bull. de la soc. belge de géologie. Bruxelles
1891, t.V. pp. 56-58. (Mém.)

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