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014E0269.TXT

ADMINISTRATIEVE & TECHNISCHE GEGEVENS
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Kaart-Nr:			14E
PLAAT:			Lillo
Nr:				269 (VIII, b)
Type Boring:		ontsluiting
Topografische kaart:	7/6
Uitgevoerd te:		Doel
Postnr:			9130
Adres boorplaats:		Deurganckdok

Opdrachtgever:		
Boorfirma:			
Boordatum:			
Topografie:			van topo kaart
Stalen door:		
Boringsmethode:		
Lengte & doormeters:	
Grondwaterstanden:	
1ste maal:			
Bij rust :			
Tijdens pompen:		
Debiet:			
Waterzaaknr:		
Totale diepte:		 
Stalen bewaard:		
Maaiveld/ref. peil: 	entre les cotes   -7m00 et  - 6m50
X:				142.325  
Y:				220.505
NIS-code:			46003
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BOORBESCHRIJVING
---------------------------------------------------------------------------
Top *	basis*	AARD DER GRONDLAGEN
---------------------------------------------------------------------------
 Planchette  LILLO  14 E
Topo IGN 7. 6  
DOEL – Deurganckdok
Secteur central

Horizons à Corbula et leur coquillier de base, faciès attribués aux Sables du Kruisschans
 
14 E 269  Chantier (Deel) I  M 55 - 65

Localisation et descriptif :

Dès le début juin 2001 fut observable sur le flanc occidentale de la tranchée du Chantier I (Deel I) un petit affleurement 
de près de 80m de long particulièrement riches en Corbula. entre les coulées (ou  Moot) 55 et 65. Les coordonnées 
Lambert du point central en sont : x : 142.325  , y : 220.505 . Son sommet se situait entre les cotes   -7m00 et  - 6m50 
DNG.

Ce petit ensemble reposait par l'intermédiaire d'un coquillier de base au sein d'une petite dépression ayant affecté le 
sommet des Sables d'Oorderen. Sa similitude lithologique et son contenu en invertébrés et vertébrés incitèrent à 
l'attribuer aux Sables du Kruisschans.

Les sédiments attribués en cet endroit aux Sables du Kruisschans sont particulièrement peu épais . Ils y atteignent à peine 
80 cm à 1m20 et sont constitués d'alternances de passées sablo-silteuses finement stratifiées à laminations 
subhorizontales très marquées et de passées argileuses centimétriques . Ces dernières présentent un très léger relief à 
modelé doux avec des creux et recreux d'amplitude de 10 à 50 cm et une profondeur d'à peine quelques cm. Trois 
horizons désignés HC1 , HC2, HC3 se signalèrent par des lentilles où abondent les coquilles de Corbula (Varicorbula) 
gibba (OLIVI, 1792). Les corbules reposent généralement dans les recreux marquant le sommet des mini strates 
argileuses, mais quelquefois au-dessus de petites laisses silteuses intensément laminées recouvrant ces argiles.
Un coquillier de base plus grossier, désigné BKr, à nombreux éléments remaniés des Sables d'Oorderen précède ces 
alternances. 

Le sommet de ce petit dépôt très local a été abrasé à l'horizontale sauf en son centre, où un petit chenal de quelques 10 à 
20 mètres de large et de quelques décimètres de profondeur a reconcentré certains de ses éléments en les mêlant à des 
éléments allochtones dont d'assez nombreux Tasselia roulés. L'aspect de ce petit comblement à laminations 
subhorizotales à obliques très marquées évoque les dépôts merksemiens.

La richesse en corbules des petites passées coquillières est remarquable Un seul litre de sédiment peut en contenir plus de 
trois cent valves dépareillées. En outre, de très nombreuses coquilles sont demeurées valves en connexion. Toutes ces 
coquilles sont fort bien préservées, ce qui impliquerait un déplacement peu significatif. Néanmoins, des traces assez 
marquées d'usure par frottement se remarquent sur la valve droite, valve la plus développée, des individus demeurés 
bivalves . Le voile pyriteux ténu qui recouvre nombre d'entre elles s'étant partiellement oxydés, une légère 
décalcification a affecté la solidité des coquilles. Les traces pyriteuses résiduelles s'observent sur les valves gauches et la 
jointure en retrait des deux valves

Une deuxième espèce de corbule serait présente : Corbula (Lentidium) complanatum SOWERBY, 1822. Celle-ci est 
quasiment aussi abondante, mais sa petitesse la rend moins décelable à l'œil nu. Il n'est pas à exclure qu'il s'agisse en fait 
de la population juvénile de Corbula gibba , mais il convient de signaler l'absence d'individus de dimensions
dimensions intermédiaires. De surcroît, ces petites coquilles sont plus anguleuses et virtuellement lisses.

Toutes les coquilles de corbules demeurées bivalves sont vides; aucun sédiment ne les a remplies. Une fine pellicule de 
sulfures de fer s'est développée sur tout ou partie de l'intérieur des coquilles. La teinte de ce léger voile est grisâtre, 
noirâtre voire bleutée.

Plusieurs de ces coquilles de corbules sont porteuses de perforation(s) due(s) à des petits gastéropodes carnivores   Fait 
très singulier, près de la moitié de ces tentatives de perforation n'ont pu être menées à terme. 
La population de prédateurs  a été interrompue pendant son travail par une cause indéterminée. Certaines coquilles 
présentent même les marques de deux tentatives avortées.
Quelques petits gastéropodes complètent l'association biologique principale. Parmi ceux-ci, Bela Keepingi 
(ETHERIDGE & BELL, 1898) est le plus fréquent.

Les opérations de lavage et de tri des sédiments récoltés ont permis la découverte des éléments suivants (échinodermes, 
cirripèdes et élasmobranches) parmi les macro- et mesofossiles associés.  La fraction inférieure à 0.5 mm contient de très 
nombreux foraminifères, des ostracodes et de nombreux ossicules de minuscules ophiures et de petites astéries.

Inventaire des formes de Mollusques présentement recensées

Espèces supposées contemporaines ou subcontemporaines en considération de l'état de fraîcheur de leur coquille

Gastéropodes (par ordre de fréquence décroissant)
Bela keepingi (ETHERIDGE & BELL, 1898)
Brachystomia cf. eulimoides (HANLEY, 1844) 
Cytharella substriata (HARMER, 1915)
Euspira catenoides (WOOD, 1842).
Nassarius (Uzita) scaldisianus  ADAM & GLIBERT, 1976
Nassarius (Uzita) reticosus (SOWERBY, 1815)
Nassarius (Hinia) propinquus (SOWERBY, 1825)
Neptunea (Sulcosipho) angulata (WOOD, 1848)

Pélécypodes (idem)
Corbula (Varicorbula) gibba (OLIVI, 1792)
Corbula (Lentidium) complanatum (SOWERBY, 1822)
Yoldia cf. semistriata (WOOD, 1848)

Examen détaillé des horizons à corbules 

Dans les concentrations les plus denses, ont été rencontrées quelques coquilles de grande taille. Citons : 

Des valves dépareillées de myiformes (record 16 cm) montrant quelques brisures périphériques, patine 
particulière et usure prononcée. Celles-ci sont de toute évidence reprises des Sables d'Oorderen.

Quelques Neptunea (Sulcosipho) angulata (WOOD, 1848), anc. N. contraria, (record  9.5 cm) dont les 
coquilles sont quasiment vides. Les premiers petits tours de spire ont livré après séchage et légers chocs un peu de 
sédiment de sables avec corbules. La grande fraîcheur et le contenu de ces coquilles autorisent à penser qu'elles furent 
subcontemporaines du dépôt des corbules. Pour rappel, la face interne du dernier tour de spire et le labre sont couverts 
d'un voile ténu de poussières pyriteuses plus ou moins oxydées.

Quelques autres coquilles de Neptunea angulata (record 8 cm) nettement roulées, à ornementation partiellement 
effacée contenaient dans les mêmes tours de spire un résidu de Sables d'Oorderen fermement adhérant recouvert de 
quelques millimètres de Sables de Kruisschans. Celles-ci sont indubitablement remaniées des Sables d' Oorderen. 

Des coquilles de natices, de nasses, de nucules, et de pectinides, toutes plus ou moins fortement altérées et 
roulées et de surcroît partiellement décalcifiées. Certaines de ces coquilles pourraient être subcontemporaines des 
corbules, la plupart semblent également remaniées des Sables d'Oorderen.

La fraction supérieure à 5mm contient une grande quantité de fragments centimétriques de gastéropodes et de 
pélécypodes. Parmi les  gastéropodes citons: neptunies, scaphelles, natices et nasses quelques fois réduites à des 
fragments de labres, d'enroulement spiral ou de protoconches avec parties de tours de spire. Parmi les pélécypodes 
citons: de nombreux pectinides, des cyprines, et pygocardes, réduits à leurs charnières, des fragments nacrés du 
revêtement intérieur d'atrines, de rares débris de cyrtodaires et de cardiums. Ceci constitue une liste non exhaustive de 
formes reprises des Sables d'Oorderen.

La fraction comprise entre 5mm et 2.5mm débarrassée de ses Corbula et des quelques petits gastéropodes 
particuliers aux Sables de Kruisschans n'évoque plus qu'un gravillon coquillier des Sables d'Oorderen, au sein duquel 
abondent les éléments roulés des thèques de divers petits cirripèdes.

La fraction comprise entre 2.5mm et  0.5mm semble moins contaminée. Les mini fragments de corbules  y sont 
les éléments dominants. Cette fraction contient également en grande abondance de menus fragments de colonies de 
bryozoaires : colonies rameuses éclatées longitudinalement, colonies arborescentes brisées et plus ou moins roulées et 
petites colonies tubuliporines massives et aplaties. De nombreux grains de glauconie sont profondément et fortement 
ancrés dans diverses logettes et rainures structurales.  Ces fossiles ne peuvent être contemporains du dépôt; ils pourraient 
provenir des Sables de Luchtbal , ou d'un dépôt encore plus ancien.

Les trois horizons à lentilles de corbules ont livré les mêmes restes en proportions très proches sinon identiques. 
Les variations se résument comme suit :

à la teneur en galets argileux , plus abondants dans l'horizon le plus inférieur
à la concentration d'éléments coquilliers grossiers des Sables d'Oorderen, également plus abondants dans   
l'horizon le plus inférieur, mais aussi dans l'horizon le plus supérieur
	à la concentration légèrement plus élevée des dents de petits batoïdes dans les deux horizons inférieurs
	à la fréquence plus élevée d'ossements de Melanogrammus conjunctus dans les deux horizons inférieurs

Au sein de l'horizon le plus inférieur fut opéré un prélèvement sélectif d'une concentration en trois parties, sommitale, 
médiane et basale qui a simplement permis d'observer une plus grande concentration de petits galets
argileux dans la partie basale et une concentration maximale en dents de rajiformes dans la partie médiane (10 à 15 par 
litre de sédiment).

Soulignons que dans tous les échantillons, les petits galets argileux millimétriques à centimétriques sont restés 
subanguleux. La fréquence des corbules est quasi constante dans les trois ensembles distingués. 

Particularités apparues en cours de tri
(Pélécypodes, Echinodermes, Cirripèdes et Vertébrés)

Le pélécypode Yoldia semistriata  WOOD, 1848 est représenté par de très nombreux fragments de sa coquille qui 
pouvait atteindre 35mm de long. Ses fragments varient de quelques mm à 15 - 16mm. Ils ont conservé un aspect de 
fraîcheur remarquable. La brillance de leurs faces tant interne qu'externe est pratiquement inaltérée. Les délicates dents 
de leurs charnières sont restées intactes. 
Des fragments de toutes les parties de leurs valves se rencontrent, mais se sont les fragments de charnières avec ou sans la 
zone umbonale qui sont les plus abondants. Il n'est pas rare de trouver des parties de charnières gauche et droite encore 
fermement imbriquées. 
Ces coquilles fragiles par leur faible épaisseur et de surcroît restées vides de tout sédiment semblent avoir éclaté sous 
l'effet de la pression  d'enfouissement plutôt que brisées par la violence du transport. L'environnement normal de ce 
mollusque est marin, peu profond et tempéré frais à  froid.

Les Echinodermes sont représentés par des fragments de tests d'échinides réguliers et irréguliers, soies et radioles de 
ceux-ci et des éléments constitutifs du squelette de minuscules astéries et ophiures.
Les fragments de toutes les parties du test d'échinides irréguliers sont très abondants. Ils mesurent de quelques mm 
jusqu'à 12mm. Ils présentent tous la même teinte grisâtre à gris beige. Les délicates soies de ces oursins se rencontrent en 
grande abondance dans les fractions les plus fines. Bien que d'une extrême fragilité un grand nombre d'entre elles sont 
demeurées intactes. Ces restes semblent avoir appartenu à des représentants des genres Echinocardium et Spatagus.
De beaucoup plus rares fragments de tests d'un échinide régulier s'observent également ainsi que des radioles courtes, 
solides et nettement striées. Ces restes auraient pu appartenir à une espèce du genre Psammechinus.
Dans l'état actuel de nos connaissances, il reste impossible de tenter de préciser l'appartenance générique ou familiale 
des nombreux restes des petites astéries et ophiures mentionnés.
L'abondance relative de restes d'échinodermes interdit l'hyposalinité la plus faible. Les groupes supposés présents 
affectionnent les eaux tempérées à froides (Manche, Mer du Nord méridionale à septentrionale).

Les Cirripèdes, en l'occurrence des Thoraciques, sont représentés par quelques rares thèques complètes et de très 
nombreuses plaques constitutives de celles-ci, tergites et scutum y compris.
La dimension de certaines de ces plaques constitutives approche le cm, pour la plupart d'entre elles, l'ordre de grandeur 
se situe entre 2 et 4mm. 
Il semble possible de reconnaître trois types d'espèces très proches de certaines  qui habitent encore nos eaux nordiques: 
Balanus balanus LINNAEUS, Balanus improvisus DARWIN et Verruca stroemia MULLER.
Quelques thèques complètes mais dépourvues des tergites ont pu être récoltées. Trois petits individus juvéniles de cf. 
Balanus balanus ont été retrouvés sur un fragment du test d' Echinocardium.
Les ciripèdes sont également exclusivement marins. Les types supposés présents se retrouvent en Mer du Nord actuelle et 
ce, jusque très au Nord des côtes norvégiennes.

Les Vertébrés sont représentés par des dents d'Elasmobranches, des ossements, dents et otolithes de Téléostéens. 
Parmi les élasmobranches sont recensés : Squalus cf. acanthias LINNAEUS, 1758, Squatina squatina (LINNAEUS 
1758), Cetorhinus maximus (GUNNER, 1765) , R aja cf. clavata (LINNAEUS 1758): dents et  boucles dermiques, Raja 
cf. radiata : dents et boucles dermiques.
Ces espèces, dont seules les Rajidae sont abondantes , indiquent un milieu marin côtier, peu profond et froid.
 
Les Téléostéens sont représentés essentiellement par quelques otolithes attribuables à des gadiformes (3 espèces au 
moins), des gobiiformes et ? un pleuronectiforme.
Les restes les plus spectaculaires de Téléostéens sont les ossements (cleithrum) pachyostosés classiquement attribués à 
Melanogrammus conjunctus GAEMERS & SCHWARZHANS, 1973..Ceux-ci sont fréquents (1 ou 2/10 litres de 
sédiment). Leur état de conservation permet de supposer qu'ils n'ont pas subi de transport significatif. Ils semblent être 
demeurés virtuellement in situ.

Il convient par contre  de souligner l'extrême rareté de tous les autres ossements de Téléostéens. Les quelques pièces 
crâniennes et vertèbres trouvées sont à peine aussi nombreuses que les otolithes récoltés. Un tri mécanique sévère a du se 
produire.

Examen de l'horizon coquillier de base

Ce coquillier détritique faiblement graveleux sera considéré comme représentant en cet endroit la base des Sables du 
Kruisschans.

En plus de sa masse principale constituée de coquilles ou fragments de coquilles remaniés de la partie supérieure des 
Sables d'Oorderen , il contient quelques galets phosphatés nuculaires subellipsoïdaux , des galets centi- métriques 
d'argile de teinte gris bleuté quelquefois perforés et des petites concrétions sablo-argileuses faiblement consolidées 
formées concentriquement autour d'un petit terrier subvertical. Ces derniers suggèrent des ébauches de terriers de 
pogonophores.

De grandes coquilles relativement bien conservées de Colus curtus, Nassarius reticosus, Nassarius scaldisianus, Natica 
crassa, et de Cyprina (Arctica) sp. y sont fréquentes. Des fragments de grosses coquilles de Pygocardia caractéristiques 
de la partie supérieure des Sables d'Oorderen y sont particulièrement abondants, tout comme des valves ou fragments de 
valves abrasées de Pecten opercularis vraisemblablement de même provenance.

Des petites coquilles, divers petits fragments coquilliers infracentimétriques et des fragments de petites colonies 
branchues de bryozoaires présentent une teinte verdâtre plus ou moins prononcée résultant d'une glauconisation plu 
ancienne. Leur teinte contraste fortement avec le gris bleuté de la majorité des coquilles reprises des Sables d'Oorderen. 
Ces derniers pourraient provenir des Sables du Luchtbal. 

Les Corbula  bivalves sont moins abondantes que dans les trois strates supérieures ( HC1, 2 , 3). Les petits gasté-
Ropodes accompagnateurs (Bela, Odostomia, Turboilla et autres) sont présents, fréquents et en majorité mieux conservés 
qu'au sein des horizons à Corbula.

La remarquable faunule de petits élasmobranches découverte dans les horizons à corbules est présente mais nettement 
moins abondante et ses éléments les plus petits (inférieurs à 0.6mm) y font défaut.

Les ossements si caractéristiques des Melanogrammus sont également présents mais rares. Ossements et oto- lithes de 
téléostéens sont également moins fréquents que dans les niveaux à corbules.

Conclusion

Si l'attribution de ces couches aux Sables du Kruisschans , opinion R.Marquet et J. Herman), reste sujette à caution, cette 
faunule est pour le moins originale. L'environnement était marin , vraisemblablement néritique à intertidal, à salinité 
normale et virtuellement dépourvu d'apports continentaux. Aucun reste macroscopique de végétaux , d'invertébrés ou de 
vertébrés continentaux n'y a été décelé. La faible biodiversité et l'assemblage faunistique suggèrent un climat tempéré 
frais sinon froid.


                                                                                              J.Herman   Juin 2001, revu et modifié Novembre 2003

Références bibliographiques :

GAEMERS P.A .M. &  SCHWARZHANS  W., 1973 : Fish-Otolithen aus dem Pliozän von Antwerpen (Belgien) und 
Ouwerkerk (Niederlande), und aus dem Plio-Pleistozän der Westerschelde (Niederlande). Leidse Geologische 
Mededelingen. Leiden. 49 : 207-257.  

GLIBERT M., 1957 : Pélécypodes du Diestien,  du Scaldisien et du Merksemien de la Belgique. Première note. Bul-
letin de l'Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Bruxelles. 33(9), 40p., 1pl. 

GLIBERT M. , 1959 : Pélécypodes du Diestien,  du Scaldisien et du Merksemien de la Belgique. Quatrième note Bulletin 
de l'Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Bruxelles. 35(36), 24p., 1pl.

GRAVENDEEL R., VAN NEER W. & BRINKHUIZEN D., 2002 : An Identification Key for Dermal Denticles of 
Rajidae from the North Sea. International Journal of Osteoarchaeology.  London . 12 : 420-441.

HERMAN J., HOVESTADT-EULER M. & HOVESTADT D., 1995 : Contributions to the study of the comparative 
morphology of teeth and other relevant ichthyodorulites in living supra-specific taxa of Chondrichtyan fishes. Part B : 
Batomorphii N)1B. Order Rajiformes – Suborder Rajoidei – Family Rajidae.Bulletin de l'Institut royal des Sciences 
naturelles de Belgique. Bruxelles. Biologie 65 : 237-307.  

KOEHHLER  R., 1924 : Les Echinodermes des mers d'Europe. Encyclopédie Scientifique. Bibliothèque de Zoologie. 
Paris. T.I : 362p., pl.. 1-9, T II : 339p., pl. 10-17.

MARQUET R., 1998 : De pliocene gastropodenfauna van Kallo (Oost-Vlaanderen, België). Publicatie van de Belgi- 
sche Vereniging voor Paleontologie. Antwerpen. 17. 246p. 

BELGISCHE GEOLOGISCHE DIENST

	14E/0269 (VIII, b) -  KAARTBLAD: LILLO
p. 1/6

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