117W0057

PL.WAVRE 117W Service Géologique
C.Malaise de Belgique

17 novembre 1879.

57* (V)

Dv2 Près du ruisseau de Blanc-Riz, grès rougeâtre.

On trouve successivement en se dirigeant au N. de ce
point : voir Nos 58 - 62.


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PL. WAVRE 117W
F.CORIN
26 juillet 1939

57, 86 et 87 (suite)

Les descriptions de Rutot et de Malaise, telles qu'elles
figurent aux archives, comprennent, sous ces numéros
l'ensemble des chemins repris au croquis ci-joint, et
dont l'état est décrit à la date du 26 juillet 1939:

a) Tout au début du talus Nord-Est d'un petit chemin
qui longe, au pied, le versant Est de la vallée de la
Dyle, on voit un petit affleurement, long de 4 m. et
haut de 1 m. à une hauteur de 2 m. au-dessus du chemin

C'est surtout, un grès très altéré, rose, dont un banc,
l'inférieur, a au moins 0m50 d'apaisseur, et qui est
surmonté de grès finement plaqueté, en lits parfois contournés.
La direction est approximativement, W 20oN, et la
pente de 40o vers le Nord.
Au haut de l'affleurement, l'allure est toute
différente, presque verticale (environ 85oN) et
l'orientation sensiblement E-W. Mais l'affleurement est
très mauvais.
Les parties plaquetées ont l'aspect littoral,
caractéristique du faciès à Oldhamia. Toutefois, je n'y
ai trouvé que des traces fort douteuses de ce fossile,
sauf en un endroit (éch).
Au Nord, sur une centaine de mètres, le talus se
poursuit, éboulé, criblé de quartzites détritiques
identiques aux précédents.

b) Le long du chemin longeant le versant Nord du
ruisseau du Blanc-Ry, à l'Est du point 86, le talus
Nord montre assez bien d'affleurements de quartzite
altéré, rosé, avec lits finement plaquetés.
A 50 m. du début du chemin, premier affleurement,
fortement déjeté par le coulage.
En face d'une ancienne maison, à 100 m. de l'entrée
Ouest du chemin, affleurement un peu meilleur; la
direction est sensiblement celle du chemin et la pente
vers le Nord. Le facies à Oldhamia est typique, mais
très sableux et fortement décomposé. Le fossile y est
abondant, mais il y a peu de beaux échantillons (éch).

c) Le long du chemin vers le Nord, la végétation couvre
pratiquement les talus et on n'y voit rien.